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Patouf a réagi à Mhoree dans Guilty Gear Xrd - Revelator
Bonjour Gameuses et Gamers ,
Le temps des bons jeux de baston 2D semble vraiment révolue, pourtant Arc System Works se prépare à nous sortir un nouvel épisode de l'excellent
Guilty Gear qui a vu le jour en 1998. Ce nouvel épisode reste bien fidèle à la 2D et va faire plaisir aux fans des jeux de Baston 2D. Guilty Gear Xrd -REVELATOR- va sortir en édition limitée mais qu'au pays du soleil levant sur PS4 et PS3, avec des bonus comme un Guilty Gear Xrd Visual Book mais aussi le Blu-Ray "Toshin-Gekitotsu" et le Gear Sound Live 2014. La sortie japonaise ( en édition limitée ) est prévue pour le 27 mai 2016. La sortie USA est prévue pour le 7 Juin et en Europe le 10 Juin mais dans des versions basic...
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Patouf a reçu une réaction de Gameuse Skitty dans Game Sound
Allez un peu de sport pour changer.
Je crois que ce jeu était tout pourri mais comme Chris Hülsbeck était aux platines le titre ne tombera peut être pas aux oubliettes.
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Patouf a reçu une réaction de Albatorth84 dans Sony dépose un brevet sur des gants servant de manette
Suis je le seul à avoir pensé à ça en voyant le titre du topic :
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Patouf a reçu une réaction de Gameuse Shinoa dans Un samouraï oublié : Getsu Fuuma Den
Année : 1987
Pays Japon
Développeur : Konami
Joueurs : 1
Plateforme : Famicom
Getsu Fuuma Den est un jeu d’action/aventure se déroulant dans un univers médiéval fantastique japonais. Pour un œil non averti il est facile de le confondre avec Castlevania sorti à la même période.
On y incarne Fuuma un guerrier chargé de récupérer des sabres dérobés à son clan.
Le gameplay alterne plusieurs phases :
Une carte vue de dessus qui permet de se rendre dans divers lieu : magasins, donjons, forets, grottes.
Généralement visiter un lieu de la carte mène à une phase de plateforme en vue de côté. Le héros se bat avec son sabre mais vous pouvez ramasser ou acheter différents bonus offensifs ou défensifs. Pour les activer il faut mettre le jeu en pause, effectuer plusieurs pression sur A ou B pour sélectionner le bonus désiré et enfin appuyer sur start. 3 vies sont disponibles par défaut, si elles sont toutes perdues vous êtes renvoyé à la carte. Les phases de plateforme sont loin d’être évidentes au début à cause de la gestion des sauts et il est fréquent de se faire propulser dans le vide après une collision avec un ennemi. Si vous gardez un mauvais souvenir des têtes de méduse dans Castlevania vous risquez d’en baver car les ennemis volants ont une fâcheuse tendance à suivre des trajectoires farfelues.
Certains donjons se déroulent dans une vue en pseudo 3D façon Phantasy Star. Toutefois les combats restent en temps réel, vous devez vous déplacer latéralement pour esquiver les attaques ou frapper votre ennemi quand il vous fait face.
Getsu Fuuma Den était une des licences fortes de Konami à la fin des années 80. On pouvait notamment retrouver Fuuma parmi les personnages jouables dans les jeux cross over Wai Wai World (aux cotés de Belmont de Castlevania, mais bon je vous reparlerai peut être plus tard de cette franchise). Le titre n'est sorti qu'au Japon, toutefois une ROM traduite circule sur le net (c'est celle que j'ai utilisé pour les captures).
Le jeu possède quelques thèmes musicaux mémorables (le thème de carte en particulier), un hommage leur a été rendu dans le 18ème volet de la série pop’n music. C’est d’ailleurs grâce à ce medley que j’ai découvert le jeu.
Pour finir je vais aborder un point qui m'intrigue. En effet si vous jouez à Getsu Fuuma Den vous risquez de ressentir un étrange sentiment de déjà-vu.
Je m’explique : les barres de vie, les bruitages, la gestion des collisions, l’alternance entre phase vue de dessus et plateforme à défilement horizontal.
Manette en main, si vous êtes un minimum familier avec la logithèque de la NES il y a de fortes chances pour que cela vous évoque un titre qui a fait souffrir toute une génération :
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Patouf a reçu une réaction de psychotyphoon dans Un samouraï oublié : Getsu Fuuma Den
Année : 1987
Pays Japon
Développeur : Konami
Joueurs : 1
Plateforme : Famicom
Getsu Fuuma Den est un jeu d’action/aventure se déroulant dans un univers médiéval fantastique japonais. Pour un œil non averti il est facile de le confondre avec Castlevania sorti à la même période.
On y incarne Fuuma un guerrier chargé de récupérer des sabres dérobés à son clan.
Le gameplay alterne plusieurs phases :
Une carte vue de dessus qui permet de se rendre dans divers lieu : magasins, donjons, forets, grottes.
Généralement visiter un lieu de la carte mène à une phase de plateforme en vue de côté. Le héros se bat avec son sabre mais vous pouvez ramasser ou acheter différents bonus offensifs ou défensifs. Pour les activer il faut mettre le jeu en pause, effectuer plusieurs pression sur A ou B pour sélectionner le bonus désiré et enfin appuyer sur start. 3 vies sont disponibles par défaut, si elles sont toutes perdues vous êtes renvoyé à la carte. Les phases de plateforme sont loin d’être évidentes au début à cause de la gestion des sauts et il est fréquent de se faire propulser dans le vide après une collision avec un ennemi. Si vous gardez un mauvais souvenir des têtes de méduse dans Castlevania vous risquez d’en baver car les ennemis volants ont une fâcheuse tendance à suivre des trajectoires farfelues.
Certains donjons se déroulent dans une vue en pseudo 3D façon Phantasy Star. Toutefois les combats restent en temps réel, vous devez vous déplacer latéralement pour esquiver les attaques ou frapper votre ennemi quand il vous fait face.
Getsu Fuuma Den était une des licences fortes de Konami à la fin des années 80. On pouvait notamment retrouver Fuuma parmi les personnages jouables dans les jeux cross over Wai Wai World (aux cotés de Belmont de Castlevania, mais bon je vous reparlerai peut être plus tard de cette franchise). Le titre n'est sorti qu'au Japon, toutefois une ROM traduite circule sur le net (c'est celle que j'ai utilisé pour les captures).
Le jeu possède quelques thèmes musicaux mémorables (le thème de carte en particulier), un hommage leur a été rendu dans le 18ème volet de la série pop’n music. C’est d’ailleurs grâce à ce medley que j’ai découvert le jeu.
Pour finir je vais aborder un point qui m'intrigue. En effet si vous jouez à Getsu Fuuma Den vous risquez de ressentir un étrange sentiment de déjà-vu.
Je m’explique : les barres de vie, les bruitages, la gestion des collisions, l’alternance entre phase vue de dessus et plateforme à défilement horizontal.
Manette en main, si vous êtes un minimum familier avec la logithèque de la NES il y a de fortes chances pour que cela vous évoque un titre qui a fait souffrir toute une génération :
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Patouf a reçu une réaction de Minstery dans Un samouraï oublié : Getsu Fuuma Den
Année : 1987
Pays Japon
Développeur : Konami
Joueurs : 1
Plateforme : Famicom
Getsu Fuuma Den est un jeu d’action/aventure se déroulant dans un univers médiéval fantastique japonais. Pour un œil non averti il est facile de le confondre avec Castlevania sorti à la même période.
On y incarne Fuuma un guerrier chargé de récupérer des sabres dérobés à son clan.
Le gameplay alterne plusieurs phases :
Une carte vue de dessus qui permet de se rendre dans divers lieu : magasins, donjons, forets, grottes.
Généralement visiter un lieu de la carte mène à une phase de plateforme en vue de côté. Le héros se bat avec son sabre mais vous pouvez ramasser ou acheter différents bonus offensifs ou défensifs. Pour les activer il faut mettre le jeu en pause, effectuer plusieurs pression sur A ou B pour sélectionner le bonus désiré et enfin appuyer sur start. 3 vies sont disponibles par défaut, si elles sont toutes perdues vous êtes renvoyé à la carte. Les phases de plateforme sont loin d’être évidentes au début à cause de la gestion des sauts et il est fréquent de se faire propulser dans le vide après une collision avec un ennemi. Si vous gardez un mauvais souvenir des têtes de méduse dans Castlevania vous risquez d’en baver car les ennemis volants ont une fâcheuse tendance à suivre des trajectoires farfelues.
Certains donjons se déroulent dans une vue en pseudo 3D façon Phantasy Star. Toutefois les combats restent en temps réel, vous devez vous déplacer latéralement pour esquiver les attaques ou frapper votre ennemi quand il vous fait face.
Getsu Fuuma Den était une des licences fortes de Konami à la fin des années 80. On pouvait notamment retrouver Fuuma parmi les personnages jouables dans les jeux cross over Wai Wai World (aux cotés de Belmont de Castlevania, mais bon je vous reparlerai peut être plus tard de cette franchise). Le titre n'est sorti qu'au Japon, toutefois une ROM traduite circule sur le net (c'est celle que j'ai utilisé pour les captures).
Le jeu possède quelques thèmes musicaux mémorables (le thème de carte en particulier), un hommage leur a été rendu dans le 18ème volet de la série pop’n music. C’est d’ailleurs grâce à ce medley que j’ai découvert le jeu.
Pour finir je vais aborder un point qui m'intrigue. En effet si vous jouez à Getsu Fuuma Den vous risquez de ressentir un étrange sentiment de déjà-vu.
Je m’explique : les barres de vie, les bruitages, la gestion des collisions, l’alternance entre phase vue de dessus et plateforme à défilement horizontal.
Manette en main, si vous êtes un minimum familier avec la logithèque de la NES il y a de fortes chances pour que cela vous évoque un titre qui a fait souffrir toute une génération :
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Patouf a reçu une réaction de Gameuse Skitty dans Un samouraï oublié : Getsu Fuuma Den
Année : 1987
Pays Japon
Développeur : Konami
Joueurs : 1
Plateforme : Famicom
Getsu Fuuma Den est un jeu d’action/aventure se déroulant dans un univers médiéval fantastique japonais. Pour un œil non averti il est facile de le confondre avec Castlevania sorti à la même période.
On y incarne Fuuma un guerrier chargé de récupérer des sabres dérobés à son clan.
Le gameplay alterne plusieurs phases :
Une carte vue de dessus qui permet de se rendre dans divers lieu : magasins, donjons, forets, grottes.
Généralement visiter un lieu de la carte mène à une phase de plateforme en vue de côté. Le héros se bat avec son sabre mais vous pouvez ramasser ou acheter différents bonus offensifs ou défensifs. Pour les activer il faut mettre le jeu en pause, effectuer plusieurs pression sur A ou B pour sélectionner le bonus désiré et enfin appuyer sur start. 3 vies sont disponibles par défaut, si elles sont toutes perdues vous êtes renvoyé à la carte. Les phases de plateforme sont loin d’être évidentes au début à cause de la gestion des sauts et il est fréquent de se faire propulser dans le vide après une collision avec un ennemi. Si vous gardez un mauvais souvenir des têtes de méduse dans Castlevania vous risquez d’en baver car les ennemis volants ont une fâcheuse tendance à suivre des trajectoires farfelues.
Certains donjons se déroulent dans une vue en pseudo 3D façon Phantasy Star. Toutefois les combats restent en temps réel, vous devez vous déplacer latéralement pour esquiver les attaques ou frapper votre ennemi quand il vous fait face.
Getsu Fuuma Den était une des licences fortes de Konami à la fin des années 80. On pouvait notamment retrouver Fuuma parmi les personnages jouables dans les jeux cross over Wai Wai World (aux cotés de Belmont de Castlevania, mais bon je vous reparlerai peut être plus tard de cette franchise). Le titre n'est sorti qu'au Japon, toutefois une ROM traduite circule sur le net (c'est celle que j'ai utilisé pour les captures).
Le jeu possède quelques thèmes musicaux mémorables (le thème de carte en particulier), un hommage leur a été rendu dans le 18ème volet de la série pop’n music. C’est d’ailleurs grâce à ce medley que j’ai découvert le jeu.
Pour finir je vais aborder un point qui m'intrigue. En effet si vous jouez à Getsu Fuuma Den vous risquez de ressentir un étrange sentiment de déjà-vu.
Je m’explique : les barres de vie, les bruitages, la gestion des collisions, l’alternance entre phase vue de dessus et plateforme à défilement horizontal.
Manette en main, si vous êtes un minimum familier avec la logithèque de la NES il y a de fortes chances pour que cela vous évoque un titre qui a fait souffrir toute une génération :
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Patouf a reçu une réaction de Gameuse Skitty dans Game Sound
Challenge accepted.
On enchaine avec le boss final du jeu de baston Matrimelee et son thème pour le moins inattendu :
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Patouf a reçu une réaction de Minstery dans Deathmiles
ça y est la sortie sur Steam est annoncée pour le 10 mars.
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Patouf a reçu une réaction de Minstery dans Game Sound
Challenge accepted.
On enchaine avec le boss final du jeu de baston Matrimelee et son thème pour le moins inattendu :
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Patouf a réagi à darkbibni dans Game Sound
Ah cool j'aime bien ce topic (si tu veux renomme le Fight of Game Musics ?
Très bien c'est l'heure dudududu duel de son !
Alors pour ma part j'ai plein de son de jeux vidéos plus ou moins récents mais je les révélerai au fur et à mesure (un à la fois )
Allez pour mon premier : Par le créateur de SuperHexagon, VVVVVV :
C'est du 16bits attention les oreilles, tout le monde n'aime pas
Quoi que si vous avez eu une console vous devez y être habitué !
Allez petit challenge mon concurrent doit venir d'un univers totalement opposé au mien (c'est à dire ni l'espace, ni du 16 bits ) !
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Patouf a réagi à Minstery dans Danganronpa : Trigger Happy Havoc sur Steam !
Bonjour à toutes et à tous
Danganronpa : Trigger Happy Havoc, qui est sorti en 2014 en Europe sur PSP et PS Vita est arrivé le 18 février 2016 sur Steam.
Le nom original du jeu est (traduit) Danganronpa : l'Académie de l'Espoir et les Lycéens du Désespoir. L'histoire du jeu est la suivante : vous incarnez Makoto Naegi, un adolescent lambda, sans talent spécial, qui se retrouve inscrit dans l'académie Kibougamine, un lycée prestigieux où chaque étudiant possède une compétence particulière ou une grande maîtrise d'un sujet. Chaque étudiant possède donc un titre : Ultime combattant, Ultime écrivain, Ultime otaku (oui oui, otaku) et notre héros est quant à lui élu "Ultime chanceux". Une fois dans le lycée, Makoto Naegi se retrouve enfermé avec 14 étudiants et ils apprennent qu'ils devront y vivre pour le restant de leur vie. S'ils veulent partir, ils doivent tuer un de leur camarade sans être découvert...
Quelques petits mots sur le gameplay, car cela peut toujours être intéressant !
Le jeu est en plusieurs chapitres qui possèdent les mêmes phases. Dans la plupart du temps d'un chapitre, vous pouvez visiter l'académie et parler avec vos camarades. Il y a aussi une partie du chapitre, appelée "Free Time", durant laquelle vous pouvez parler en tête à tête avec un élève. Enfin, quand quelqu'un commet un meurtre, il y a une phase d'enquêtes durant laquelle vous devez trouver des preuves, et ceci s'enchaîne avec la dernière partie du chapitre : le procès scolaire.
Au vu des évaluations, le jeu est plutôt bien reçu par la communauté Steam. A noté qu'il n'est disponible qu'en anglais (interface, audio, sous-titre) mais que vous pouvez avoir l'audio en japonais. Il est disponible sur Linux, Mac OS et Windows. Si vous êtes intéressé(e), cliquez sur l'image en dessous, vous arriverez sur sa page Steam
Pour finir, voici la bande-annonce du jeu !
Qu'en pensez-vous ? Allez-vous acheter le jeu ?
N'hésitez pas à vous inscrire pour nous rejoindre et pour pouvoir commenter sur le forum !
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Patouf a reçu une réaction de Gameuse Skitty dans Doom : Pré-commande & Edition Collector
Même pas une petite tronçonneuse dans l'édition collector, c'est quoi cette arnaque !
Sinon je suis content de revoir de vieilles connaissances (cacodémons, mancubus et autres revenants) dans le trailer.
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Patouf a réagi à psychotyphoon dans [RETRO TEST] Akumajou Dracula X : Chi no Rondo
[RETRO TEST] Akumajou Dracula X : Chi no Rondo
Date de sortie : 1993
Éditeur : Konami
Genre : action
Support : PC-Engine Super CD-Rom²
Bonjour à toutes et à tous, chers gameuses et gamers !
Afin d'inaugurer la création du topic RETRO TEST, j'ai décidé de vous présenter aujourd'hui un jeu tiré de la série culte Castlevania: Akumajou Dracula X - Chi no Rondo plus connu dans nos contrées sous le nom de Castlevania - Rondo of Blood.
J'ai testé ce jeu sur PC-Engine Super CD-Rom², donc en version japonaise.
Sachez que pour ceux qui possèdent une PSP et qui souhaitent goûter à ce jeu mythique, Konami a eu la bonne idée d'en sortir un excellent remake en 2006 sous le nom de Castlevania : The Dracula X Chronicles.
A noter que dans cette version , il est possible de débloquer le jeu d'origine ainsi que le fantastique Symphony of the Night ( épisode culte sorti sur PSX en 1997 et sur Saturn en 1998 ).
Ceci mis à part, entrons dans le vif du sujet:
Lors du lancement du jeu, on a droit à une intro type anime ( une révolution pour l'époque ! ) où l'on découvre le pourquoi du comment de la résurrection du comte Dracula jadis éliminé par les ancêtres de la famille Belmont et revenu à la vie grâce au sacrifice d'une vierge.
L'histoire se déroule en 1792, le personnage que l'on incarne, s'appelle Richter qui n'est rien d'autre que le descendant du Clan Belmont, famille destinée depuis la nuit des temps à combattre le comte.
Suite à l'enlèvement de sa fiancée, Annette et de la soeur de cette dernière, Maria, Richter armé de son fouet légendaire, le "Vampire killer", se lance à la poursuite du Comte Dracula !
Pour les habitués de l'univers des premiers Castlevania, le jeu garde son style d'origine, un jeu de plateformes où l'on doit parcourir une multitude de tableaux, traversant villages, ponts, grottes, chapelles, horloge et même un bateau.
Richter, armé de son fouet, peut également compter sur des armes secondaires (poignards, eau bénite, boomerang, hache ...) que l'on peut utiliser soit à "l'unité" mais également en attaque spéciale pour venir à bout de ses ennemis (Attention cependant, les attaques spéciales sont très efficaces, mais aussi très gourmandes en cœurs !).
La spécificité de cet épisode par rapport aux précédents, est que les programmeurs de Konami ont décidé d'inclure des itinéraires "BIS" , parallèlement au déroulement habituel du jeu.
Je m'explique, en effet il est possible de découvrir dans chaque niveau, un passage secret donnant accès à niveau ' possédant chacun un boss inédit, on peut également obtenir à la place de l'arme secondaire des clés permettant de libérer les jeunes femmes captives (4 en tout, personnellement, j'ai réussi à n'en délivrer que 2, et c'est chaud !).
L'autre nouveauté, c'est la possibilité de pouvoir utiliser Maria comme personnage une fois libérée, son point fort est qu'elle est plus facilement maniable que Richter car elle utilise des animaux pour attaquer, par contre ses attaques sont plus faibles que celles de son partenaire, il suffit juste de choisir le personnage le plus adéquat en fonction du niveau traversé.
Techniquement, je me souviens à l'époque que ce jeu avait fait l'effet d'une bombe, des décors sombres, une ambiance gothique, un bestiaire et des personnages légendaires issus de films d'horreur ou de la mythologie ( Wyvern, le monstre de Frankenstein, les méduses, Grim reaper ...) et une bande son dont certains morceaux sont désormais devenus cultes ( Divine Bloodlines, Vampire Killer, Bloody Tears ...).
Par contre, ce jeu est destiné à des gamers ayant les nerfs solides et un bon sens du timing car je ne vous cache pas que ce dernier est assez difficile si on veut le terminer à 100%, personnellement j'en suis à 66 % en l'ayant terminé 2 fois, une fois avec Richter et l'autre avec Maria (les 2 fins sont différentes), j' ai sué sang et eau sur certains passages.
Il est possible de voir l'avancement de la partie lors du choix des niveaux (en photo, ma partie actuelle).
Sachez enfin qu'il est sorti en 1995, une version "alternative" à ce jeu sur Super Famicom ( et Super Nintendo ) appelée Castlevania: Vampire's Kiss, connu au Japon sous le nom Akumajō Dracula XX (Akumajou Dorakyura Daburu Ekkusu), le moteur graphique reste le même, certains personnages également, d'autres sont inédits mais la trame de l'histoire est un peu différente de Chi no Rondo ( Lui aussi j’ai pleuré pour le finir, tellement il est difficile ! ).
En espérant que ce premier "RETRO TEST" vous ait plu et qu'il vous a donné envie de vous casser un peu les dents sur ce monument du jeu vidéo, prochain test prévu dans une quinzaine de jours !
Test écrit par Psychotyphoon
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Patouf a reçu une réaction de Albatorth84 dans Space Race : un jeu de société dédié au rétrogaming
Space Race est un croisement entre un trivial pursuit et un jeu de l'oie ayant pour thème le rétrogaming.
Il n'existe pour le moment qu'à l'état de prototype téléchargeable gratuitement et à imprimer vous même. Il peut être récupéré là :
http://amigamuseum.emu-france.info/spacerace.htm
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Patouf a reçu une réaction de Minstery dans Space Race : un jeu de société dédié au rétrogaming
Space Race est un croisement entre un trivial pursuit et un jeu de l'oie ayant pour thème le rétrogaming.
Il n'existe pour le moment qu'à l'état de prototype téléchargeable gratuitement et à imprimer vous même. Il peut être récupéré là :
http://amigamuseum.emu-france.info/spacerace.htm
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Patouf a reçu une réaction de Gameuse Shinoa dans Space Race : un jeu de société dédié au rétrogaming
Space Race est un croisement entre un trivial pursuit et un jeu de l'oie ayant pour thème le rétrogaming.
Il n'existe pour le moment qu'à l'état de prototype téléchargeable gratuitement et à imprimer vous même. Il peut être récupéré là :
http://amigamuseum.emu-france.info/spacerace.htm
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Patouf a reçu une réaction de Gameuse Skitty dans Osu !
Osu est un jeu de rythme pour PC (gratuit) reprenant le gameplay de la série Osu! Tatakae! Ouendan sortie initialement sur Nintendo DS (plus connue sous le nom Elite Beat Agents en occident). L’objectif est de cliquer sur des cibles qui apparaissent en rythme avec de la musique. Au fil des versions d’autres modes de jeu ont vu le jour. Le mode taiko inspiré par la simulation de tambour japonais Taiko no tatsujin Un mode original catch the beat dans lequel vous devez attraper des notes qui tombent de l’écran. Le mode le plus récent est Osu!mania, il est calqué sur des jeux comme beatmania IIDX ou encore le défunt O2jam Le jeu est entièrement paramétrable et possède un éditeur pour fabriquer ses propres niveaux appelés Beatmaps. La communauté étant très active le nombre de beatmap disponible est donc en perpétuelle augmentation. Les styles musicaux sont très variés mais les musiques issues de la sphère "Otageek" tendent à être les plus représentées. Les packs de chansons sont téléchargeables sur le site officiel. Les débutants sont invités à faire particulièrement attention au niveau de difficulté des beatmaps qu’ils s’apprêtent à importer (s’attaquer d’office à du insane est déconseillé ). Toutes les infos utiles sur le jeu se trouvent ici : https://osu.ppy.sh/wiki/FR:Welcome
Des amateurs sur jeu.video ?
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Patouf a réagi à Gameuse Skitty dans L'amiibo Wolf Link
Mouai payer en plus pour pouvoir finir le jeu ...
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Patouf a reçu une réaction de MerNan dans Vos AMV favoris
C'est bon ? Les enfants sont au lit ? Parce que Ladd Russo et sa bande vont refaire la peinture à leur façon...
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Patouf a reçu une réaction de Gameuse Skitty dans Dessins animés de notre enfance
Culte !
Par contre je l'ai retrouvé qu'en version espagnole ^^;
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Patouf a reçu une réaction de Gameuse Skitty dans Dessins animés de notre enfance
Allez hop j'en remet une couche avec quelques trucs que j'ai eu du mal à retrouver (et des chansons à fort pouvoir de pénétration cérébrale):
Croque note show
Les Tifous
http://www.dailymotion.com/video/x5tq31_les-tifou_lifestyle
Sos Polluards
Les entrechats
Ghostbusters (attention c'est peut être pas ce que vous croyez, j'ai l'impression qu'elle a cessé d'être diffusée en France quand les séries dérivées du film d'Harold Ramis sont arrivées chez nous)
Il était une fois l'espace. Le mouton noir de la série ? j'en avait pas un souvenir très net mais quand je l'ai revu il y a quelques années j'ai été agréablement surpris.
Vas-y Julie ! (une geekette avant l'heure ?)
Les diplodos
Les tiny toons
Cubitus
Bouli
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Patouf a reçu une réaction de psychotyphoon dans Vos collections de jeux en photo
Collection megadrive. La photo date un peu, il doit manquer un jeu ou deux mais j'ai la flemme de tout ressortir !
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Patouf a reçu une réaction de Serimon dans Le top 5 des jeux les plus vendu de la semaine 52
Y'a peut être plus d'hommes qu'on le crois qui apprécient la maison du style (j'ai bien fais la démo moi).