Test de NieR Automata sur la PS4
Sur les traces de NieR sorti en 2010 sur PS3 et Xbox360, Nier Automata signe son entrée dans le cercle de jeu puissant sept ans plus tard. Toujours sous la réalisation de Yoko Taro et une production de Yosuke Saito, et avec la ferme collaboration des studios PlatiniumGames, voilà un aperçu de ce qui attend tous les joueurs dans moins d’une dizaine de jours.
Une petite story du jeu
Une race étrange et meurtrière d’extraterrestres, accompagnée d’une horde de robots, s’est emparée de la terre en y poussant toute l’humanité vers un exil. Nous sommes à environ 11.945 après Jésus Christ. Le peu qui reste à l’humanité se trouve sur la lune. Pour mettre fin à l’exil, tous comptent sur une armée de l’organisation YoRha. Le jeu démarre lorsque, l’acteur principal qu’on incarne, 2B, un soldat humanoïde à l’apparence féminine s’en prend à une base ennemie qui abrite un gigantesque robot Goliath.
Une aventure qui démarre fort
La surprise du jeu se trouve dès le démarrage. Contrairement à beaucoup d’autres qui auraient tout de suite plongé dans le combat, NieR Automata fait un détour par une excellente séquence, loin de terrain de combat, pour donner un aperçu de ce qui viendra avec récurrence dans le jeu. Dans un mode scrolling vertical, horizontal, ou encore twin stick, parsemé de boules qui envahissent l’écran à certains moments, ça sonne comme un rappel à la vigilance.
Quelques sensations intéressantes
Les sensations de NieR Automata sur PS4 sont bien meilleures que les précédentes sur la version de 2010 (sur PS3). Les contrôles sont assez simples, et surtout très réactifs. Des sensations merveilleuses sont perceptibles, avec des enchainements puissants, mais aussi des esquives souples qui garantissent la vie dans cet univers. Le changer d’arme, très rapide, est nécessaire dans ces virulents affrontements qui opposent assez facilement des dizaines d’adversaires face à vous. Vivement que la sortie soit effective !