Une console diesel

Systématiquement, pour optimiser l'utilisation de la XBoxOne, Microsoft préconise qu'il faudra procéder à une vraie mise à jour de la console aussitôt que le démarrage soit effectuée. A moins que la connexion ne soit très forte, le processus pour la mise à jour d'1.3 Go demandera assez de temps.

Microsoft assure cependant qu'à partir du 22 novembre, sa date de lancement, il n'y aura plus d'up-dating. Les consommateurs finaux ne seront pas astreints à cette procédure. Toutefois, ces mises à jour se sont déroulées sans problème.

De même, lorsqu'un Bu-ray de jeu est inséré, il faudra également procéder à son installation sur la console de Microsoft. Cette installation retardera toute partie d'une demi-heure environ. Toutefois, avec Forza ou Battlefield 4, le jeu a pu commencer dès que la barre aurait atteint les 15% d'installation. Electronics Arts a mis nettement plus de temps à s'installer. Cependant, il faudrait noter que l'installation s'interrompt automatiquement si le disque est retiré de la console. Elle reprend systématiquement son cours à la réinsertion du disque.

Initialement, la manette de la nouvelle console représente le premier contact avec la Xbox One. Par conséquent, la manette devient tout simplement le meilleur contrôleur enregistré sur les nouvelles consoles.
Comme pour la console Xbox 360, les grandes lignes du moule des sticks en champignons creux ou concaves ont gardé pour la Xbox One, la texture granuleuse, le touché duveteux en surface et la prise en main immédiate. Les gâchettes profitent d'un moteur de vibration plutôt convaincant, même si peu de jeux exploitent encore correctement cette petite fonctionnalité.
Finalement, il se peut que l'on puisse entendre un léger cliquetis mécanique à partir des touches. Si on qualifie ces petites constatations, comme des points négatifs, on peut également expliquer leur source par la possibilité d'accueillir jusqu'à huit contrôleurs en même temps.