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Posté(e)

cet rose rouge cet que tu regarde celle ou l'eau coule comme les larme sur ton cœur . ou celle qui coule sur ton doux visage comme des perle de cristal tombe d'un cœur d'ange que je regarde de si bas mon âme de peux élever assez haut pour embrasser mon aime donc je reste bas terre et toi haut ciel comme t'est aile me cache le soleil je ne puis de regarde sachant si c'était c'est rayon ou ta beauté qui m'illumine a travers cette lumière je ne peux regarde avec mes yeux donc je le fait avec mon cœur et ton image me vient a l'esprit comme l'argent au riche ou l'amour au pauvre chacun vie selon sa vie ma vie a moi c'est toi toi cet rose rouge c'est larme perle de lumière aile qui s'élève au dessus de moi toi ma rose mon cœur et mon espoir de vie toi qui fait battre mon cœur je t'offrirai pas d'argent pas de bijoux juste mon amours sous sa forme le plus purs c'est juste quelque larme sur cet rose que je lâche au vent qui viendra elle sélevé pour t'embraser voila comment je envoie mon baiser que je ne puis m'élévé pour apporte car dieux a décide de nous séparer par la vie et la mort moi je nous réunis par des larme et mon amours tout sa transmit dans c'est rose que je pose sur ta tombe chaque dimanche je t'écrirai un poème aux nom de notre amours juste caus dernier dimanche ou nous seront ensemble ensemble la haut pour éternité

 

Posté(e)

Bon bah j'en profite pour partager un de mes poèmes préférés :P

Chanson d'automne

Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.

Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure

Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte.

Paul Verlaine.

Posté(e)

Verlaine, Verlaine, Verlaine :heart::heart::heart:

Je l'adore ! 

Le film avec DiCaprio sur sa vie, était très beau au passage. ;)

En voilà un de lui qui résume à la perfection la météo actuelle :

 

Il pleure dans mon coeur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur ?

Ô bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un coeur qui s’ennuie,
Ô le chant de la pluie !

Il pleure sans raison
Dans ce coeur qui s’écoeure.
Quoi ! nulle trahison ?…
Ce deuil est sans raison.

C’est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine !

 

Posté(e)

J'ignorais qu'il y avait un film sur sa vie, tu me l'apprends ^^

Joli poème de circonstance sinon!

On va continuer un poème par message :P

Les feuilles mortes

Oh, je voudrais tant que tu te souviennes,
Des jours heureux quand nous étions amis,
Dans ce temps là, la vie était plus belle,
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Tu vois je n'ai pas oublié.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi,
Et le vent du nord les emporte,
Dans la nuit froide de l'oubli.
Tu vois, je n'ai pas oublié,
La chanson que tu me chantais...
C'est une chanson, qui nous ressemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
Nous vivions, tous les deux ensemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
Et la vie sépare ceux qui s'aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit.
Et la mer efface sur le sable,
Les pas des amants désunis.
Nous vivions, tous les deux ensemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
Et la vie sépare ceux qui s'aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit.
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis...
 
Jacques Prévert
Posté(e)

Oh j'avais pas vu ce topic ! :o Je vais me faire plaisir ! 

La peur

La peur,
Ce sentiment angoissant où tu te sens méfiant,
Celle qui accélère ton rythme cardiaque,
A une vitesse terriblement démoniaque,
Ta vue est troublé, face à ce que tu as rencontré, imaginé ou ce qu'on ta raconté,
Ta respiration est plus rapide, créant de nouvelles rides,
Ton corps tremble de frisson,
Aussi méchant qu'une punition,
Mais quand la peur s'est éclipsé,
Tu te sens maintenant rassuré.

-Christopher Massot

 

Et oui ! C'est de moi :) . Je suis un poête ^^

Posté(e)

Annabel Lee

by Edgar Allan Poe

 

It was many and many a year ago,
   In a kingdom by the sea,
That a maiden there lived whom you may know
   By the name of Annabel Lee;
And this maiden she lived with no other thought
   Than to love and be loved by me.

 

I was a child and she was a child,
   In this kingdom by the sea,
But we loved with a love that was more than love—
   I and my Annabel Lee—
With a love that the wingèd seraphs of Heaven
   Coveted her and me.

 

And this was the reason that, long ago,
   In this kingdom by the sea,
A wind blew out of a cloud, chilling
   My beautiful Annabel Lee;
So that her highborn kinsmen came
   And bore her away from me,
To shut her up in a sepulchre
   In this kingdom by the sea.

 

The angels, not half so happy in Heaven,
   Went envying her and me—
Yes!—that was the reason (as all men know,
   In this kingdom by the sea)
That the wind came out of the cloud by night,
   Chilling and killing my Annabel Lee.

 

But our love it was stronger by far than the love
   Of those who were older than we—
   Of many far wiser than we—
And neither the angels in Heaven above
   Nor the demons down under the sea
Can ever dissever my soul from the soul
   Of the beautiful Annabel Lee;

 

For the moon never beams, without bringing me dreams
   Of the beautiful Annabel Lee;
And the stars never rise, but I feel the bright eyes
   Of the beautiful Annabel Lee;
And so, all the night-tide, I lie down by the side
   Of my darling—my darling—my life and my bride,
   In her sepulchre there by the sea—
   In her tomb by the side of the sea.
 

 

 

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