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une histoire du net disparue hélas qui donne envie de pas rater son couple

 

Je revenais à la maison, ma femme servait le souper. Je lui ai pris la main et lui ai dit : j’ai quelque chose à t’annoncer. Elle s’assis et mangea tranquillement sans dire un mot.

Encore une fois je vis la peine dans ses yeux. Soudainement je ne savais plus ouvrir la bouche. Mais je devais lui faire part de ce que je pensais. Je veux divorcer. J’ai soulevé le sujet calmement. Elle n’a pas semblé contrarié par mes paroles, elle m’a simplement demandé.. Pourquoi?

J’ai fui sa question. Elle s’est alors fâchée. Elle lança les baguettes et cria vers moi, t’es pas un homme!

Ce soir-là nous ne nous sommes pas adressé la parole. Elle pleurait. Je savais qu’elle voulait savoir ce qui était advenu de notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une explication satisfaisante, elle avait perdu mon coeur pour Marie-Ève. Je ne l’aimais plus. J’avais seulement de la pitié pour elle.

Avec une énorme culpabilité, je lui fis part de mes arrangements pour le divorce, que je lui léguais la maison, l’auto et je mettais en jeu 30% de mon entreprise. Elle y jeta un coup d’oeil et le détruisit en morceaux.

Cette femme qui avait passé 10 ans de sa vie avec moi, était devenue une étrangère. J’étais désolé pour elle de ce temps gaspillé, de ressource et d’énergie, mais je ne pouvais reprendre ce que je venais de lui dire, car j’aimais beaucoup Marie-Ève.

Soudainement elle s’est mise à pleurer très fort devant moi, ce à quoi je m’attendais. Dans le fond, ses pleurs étaient pour moi une délivrance.

Cette idée de divorce qui m’obsédait depuis plusieurs semaines, me semblait maintenant plus ferme et claire.

Le jour suivant, je suis revenu à la maison très tard, et l’ai trouvée assise à la table en train d’écrire. Je n’ai pas soupé et je suis directement allé me coucher et m’endormir aussitôt car j’étais fatigué de ma journée mouvementée avec Marie-Ève.
Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours assise à la table à écrire. Je ne m’en suis pas occupé, je me suis retourné de côté et rendormi à nouveau.

Au matin elle me présenta ses conditions de divorce : elle ne voulait rien de moi, mais avait besoin d’un mois d’avis avant le divorce.

Sa requête était que, durant ce mois, nous devions tous deux se battre pour vivre une vie aussi normale que possible. Sa raison était simple : notre fils devait passer un examen à la fin de ce mois-là et ne voulait en aucun cas, le déranger avec un mariage brisé.

C’était parfait pour moi. Mais elle ajoutait autre chose, elle me demanda de lui rappeler comment je l’avais transportée dans notre chambre nuptiale le jour de notre mariage.

Sa deuxième requête était que durant ce mois, je devais la transporter de notre chambre au seuil de la porte tous les matins. Je croyais qu’elle devenait folle. Pour faire de ses derniers jours supportables, j’acceptais son étrange requête.

J’avisais Marie-Ève des étranges conditions de divorce. Elle s’est mise à rire et croyait elle aussi, que c’était absurde.

Marie-Ève me dit avec mépris, que peu importe les ruses qu’elle prendrait, elle devait faire face au divorce.

Ma femme et moi n’avions plus aucun contact physique depuis que j’avais pris la décision de divorcer.

Alors quand j’ai dû la sortir de la chambre le premier jour, nous étions tous les deux maladroits. Notre fils applaudissait derrière nous, papa porte maman dans ses bras. Ces mots m’apportaient de la peine. De la chambre au salon, ensuite à la porte, j’ai marché environ 10 mètres avec elle dans mes bras.

Elle ferma les yeux et me demanda doucement de ne pas parler du divorce à notre fils. J’ai fait oui de la tête, j’ai ressenti un étrange sentiment plutôt bouleversant. Je l’ai déposée par terre à l’extérieur de la porte. Elle est partie attendre l’autobus pour le travail. J’ai conduit seul jusqu’au bureau.

Le deuxième jour, tous les deux agissions plus facilement. Elle s’appuya sur mon estomac. Je pouvais sentir la fragrance de sa chemise. Je réalisais que je n’avais pas regardé cette femme attentivement depuis un bon bout de temps. Je réalisais qu’elle n’était plus jeune.

Il y avait des rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient ! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pour une minute je me suis demandé ce que je lui avais fait.

Le quatrième jour, j’ai ressenti un retour d’intimité. C’est cette femme qui m’avait donné 10 ans de sa vie.

Le cinquième et sixième jours, je réalisais que l’intimité ressentie grandissait à nouveau. Je n’ai pas parlé de ceci à Marie-Ève. Il était plus facile de la transporter au fur et à mesure que le mois avançait.

Peut-être que ce travail chaque jour me rendait plus fort.

Un matin qu’elle tentait de choisir quoi porter, elle essaya quelques robes mais ne parvenait pas à trouver la convenable. Elle murmura que toutes ses robes étaient devenues trop grandes.

Soudainement je prenais conscience qu’elle avait maigri, et c’est la raison pour laquelle je pouvais la transporter plus facilement.

Ça me frappa… elle avait enterré tant de peine et d’amertume dans son coeur. Inconsciemment j’ai atteint et touché sa tête.

Notre fils est arrivé à ce moment et a dit : « papa il est temps de porter maman dehors ». Pour lui, voir son père transporter sa mère dehors était devenu une partie essentielle à sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra très fort.

J’ai tourné la tête parce que j’avais peur en cette minute de changer d’idée. Je l’ai ensuite prise dans mes bras, marchant de la chambre au salon et dans l’entrée. Elle mit ses bras autour de mon cou tout doucement et naturellement. J’ai tenu son corps serré, c’était comme le jour de notre mariage. Mais sa maigreur me rendait triste.

Le dernier jour, lorsque je l’ai prise dans mes bras, je pouvais à peine bouger d’un pas. Notre fils était parti pour l’école.

Je la tenais fermement et lui dit: « je n’avais pas remarqué que notre vie avait manqué d’intimité ».

Je conduisis jusqu’au bureau… Rapidement je sautai hors du véhicule, sans barrer les portes. J’avais peur qu’un seul délai puisse me faire changer d’idée… Je montais les marches. Marie-Ève ouvrit la porte et je lui dis : « désolé Marie-Ève, je ne souhaite plus divorcer maintenant ».

Elle me regarda sidérée et me toucha le front. Fais-tu de la fièvre? Je retirai sa main de mon front. Désolé Marie-Ève, mais je ne divorce pas. Ma vie de mariage était probablement devenue ennuyeuse parce que, ni elle ni moi n’avions évalué les détails de nos vies, mais non parce que notre amour était mort. Maintenant je réalise que depuis le jour ou je l’ai transportée dans notre demeure le jour de notre mariage, c’est mon devoir de la soutenir jusqu’à ce que la mort nous sépare.
Marie-Ève semblait soudainement comprendre. Elle me gifla violemment et claqua la porte puis éclata en sanglots. Je redescendis l’escalier et je suis parti.

En route, j’arrêtai chez un fleuriste, j’ai commandé un bouquet de fleurs pour mon épouse. La vendeuse me demandait ce qu’elle devait écrire sur la carte. Je souris et écrivis « je te porterai dehors tous les matins jusqu’à ce que la mort nous sépare ».
Cet après-midi-là j’arrivais à la maison, fleurs à la main, sourire aux lèvres, je montais les marches à la course, pour retrouver ma femme seule dans son lit – morte.

Ma femme se battait contre un cancer depuis des mois, mais j’étais tellement préoccupé avec Marie-Ève que je ne m’en suis jamais aperçu.

Elle savait qu’elle allait mourir sou peu et elle voulait me préserver, peu importent les réactions négatives de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. – Au moins, aux yeux de mon fils – je suis un mari aimant…
Les plus petits détails de votre vie sont ce qui compte vraiment dans une relation; ce n’est pas la maison, l’auto, la propriété, l’argent en banque. Ceci crée un environnement favorable pour la joie mais ne peut donner la joie à soi-même.

Alors trouvez du temps pour être l’ami de votre époux ou épouse et faites ces petites choses l’un pour l’autre qui créent l’intimité. Réglez vos problèmes, communiquez, et soyez heureux.

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The Queen And The Soldier (La Reine Et Le Soldat)

The soldier came knocking upon the queen's door
Le soldat vint frapper à la porte de la reine
He said, “I'm not fighting for you anymore”
Il dit : « Je ne me battrais plus jamais pour vous ».
The queen knew she'd seen his face someplace before
La reine savait qu'elle avait déja vu ce visage quelque part auparavant
And slowly she let him inside
Et doucement elle le laissa entrer.

He said, “I've watched your palace up here on the hill
Il dit : « Je regardais votre château la haut sur la colline
And I've wondered who's the woman for whom we all kill
Et j'ai souhaité connaître la femme pour laquelle nous avons tant tué.
But I am leaving tomorrow and you can do what you will
Mais je pars demain, vous pourrez alors faire ce que vous voudrez,
Only first I am asking you why. ”
Mais d'abord je vous demande pourquoi ? »

Down the long narrow hall he was led
Le long d'un étroit couloir il fut conduit
Into her room with her tapestries red
Vers sa chambre avec des tapisseries rouges.
And she never once took the crown from her head
Et jamais elle n'enleva la couronne de sa tête.
She asked him there to sit down
Elle lui demanda de s'asseoir.

He said, ”I see you now, and you are so very young
Il dit : « Je vous vois maintenant, et vous êtes si jeune.
But I've seen more battles lost than I have battles won
Mais j'ai vu plus de batailles perdues que de batailles gagnées,
And I've got this intuition, says It's all for your fun
Et j'ai eu cette intuition, qui me dit que c'est pour votre seul plaisir.
And now will you tell me why ? ”
Et maintenant me direz vous pourquoi ? »

The young queen, she fixed him with an arrogant eye
La jeune reine, elle le regarda d'un oeil arrogant.
She said, ” You won't understand, and you may as well not try
Elle dit : « Vous ne pouvez pas comprendre, et peut-être n'essayez vous-même pas ».
But her face was a child's, and he thought she would cry
Mais son visage était celui d'un enfant, et il crut qu'elle aller pleurer.
But she closed herself up like a fan.
Mais elle se referma sur elle-même comme un éventail.

And she said, ”I've swallowed a secret burning thread
Et elle dit : « Je garde en moi un secret qui se consume lentement
It cuts me inside, and often I've bled”
Il me taillade les entrailles, et souvent j'ai saignée »
He laid his hand then on the top of her head
Il tendit ses bras au dessus de sa tête
And he bowed her down to the ground.
Et il l'inclina vers le sol.

“Tell me how hungry are you ? How weak you must feel
« Dites-moi qu'elle est cette faim en vous ? Combien de faiblesses ressentez-vous ?
As you are living here alone, and you are never revealed
Aussi, vous vivez ici seule, et vous ne vous êtes jamais confié.
But I won't march again on your battlefield”
Mais je ne marcherais plus sur vos champs de batailles ».
And he took her to the windows too see.
Et il l'emmena vers la fenêtre pour voir.

And the sun, it was gold, though the sky, it was gray
Et le soleil, il était doré, bien que le ciel, lui, soit gris
And she wanted more than she ever could say
Et elle en désirait plus que ce qu'elle n'avait jamais voulu dire
But she knew how it frightened her, and she turned away
Mais elle savait combien ça l'effrayait, et elle se retourna
And would not look at his face again
Et elle ne voulu pas regarder de nouveau ce visage

And he said, ”I want to live as an honest man
Et il dit : « Je veux vivre comme un honnête homme
To get all I deserve and to give all I can
D'avoir tout ce que je mérite et de donner tout ce que je peux
And to love a young woman who I don't understand
Et d'aimer une jeune femme que je n'arrive pas à comprendre,
Your highness, you ways are very strange”.
Votre majesté, vos voies sont si étranges »

But the crown, It had fallen, and she thought she would break
Mais la couronne, qui était tombée, elle pensait qu'elle s'était abîmée
And she stood the, ashamed of the way her heart ached
Et elle restait là, honteuse de ce que lui dictait son coeur meurtri
She took him to the doorstep and she asked him to wait
Elle l'emmena vers le pas de la porte et lui demanda d'attendre
She would only be a moment inside
Elle voulait juste restait un instant seule

Out in the distance her order was heard
Au loin un ordre fut entendu
And the soldier was killed, still waiting for her word
Et le soldat fut tué, attendant toujours sa réponse
And while the queen went on strangling in the solitude she preferred
Et quant la reine retourna dans la solitude étouffante qu'elle préférait
The battle
La bataille
Continued on
Continuait

  • 4 semaines après...
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TROP DE RICHESSES NUISENT PARFOIS AU BONHEUR...

Un jour qu'une dame le consultait et qu'il venait de lui dire que trop de richesses nuisaient parfois au bonheur, Benjamin Franklin s'aperçut que sa visiteuse secouait la tête d'un air incrédule ...

Alors prenant une pomme dans un panier plein de fruits, qui se trouvait là, il appela un enfant qui jouait dans la pièce voisine et lui fit présent de la pomme.

L'enfant pouvait à peine la tenir dans sa petite main...
Franklin lui en offrit une seconde, que le bambin, tout joyeux, prit de l'autre main.

Puis, choisissant une troisième pomme, plus belle encore que les 2 premières, il la lui tendit de la même façon...

L'enfant serra alors ses 2 mains pleines contre sa poitrine, et essaya de prendre et de retenir le dernier fruit avec l'aide des deux autres.
Mais ses efforts furent inutiles...
La troisième pomme tomba sur le tapis, et il fondit en larmes.

Alors Franklin se tourna vers la dame :
« Voici, dit-il, un petit homme qui a trop de richesses pour pouvoir en jouir.

Avec 2 pommes, il était heureux...
Il ne l'est plus avec 3. »

Y a-t-il dans votre vie des domaines où vous avez trop de richesses ?
 

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Les sept merveilles du monde

 

    Un professeur demanda à un groupe d’étudiants : 

    - Faites-moi une liste de ce que vous considérez être les sept merveilles du monde actuel. 

 

    Certains pensèrent à citer l'Everest, Venise, La Mecque, le château de Versailles, le Kremlin, l'île de Pâques, les gratte-ciel, la Tour Eiffel, les chutes du Niagara, la banquise, la forêt amazonienne, la conquête spatiale... 

 

    Malgré quelques désaccords, la majorité d’entre eux firent les réponses suivantes (sans ordre particulier) : 

 

        Les Pyramides d’Egypte 

        Le Taj Mahal 

        La Grande Muraille de Chine 

        Rome et la basilique Saint Pierre 

        Le Grand Canyon 

        Les chutes du Zambèze 

        Les lignes de Nazca 

 

    Alors qu'il ramassait les réponses, le professeur se rendit compte qu'une élève n'avait pas encore remis sa feuille. Il lui demanda si elle éprouvait de la difficulté à terminer sa liste. L'élève lui répondit : 

    - Oui, un peu. Je n'arrive pas à me décider car il y a tellement de merveilles dans le monde. 

 

    Le professeur lui répondit : 

    - Hé bien, dis-nous ce que tu as trouvé et peut-être que nous pourrons t'aider... 

 

    La jeune fille hésita, puis dit : 

    - Je crois que les sept merveilles du monde sont : 

 

        la vue 

        l'écoute 

        le toucher 

        le goût 

        le sourire 

        les émotions 

        l'amour 

 

    La classe resta silencieuse. 

 

    Ces choses sont tellement simples et ordinaires que nous oublions à quel point elles sont merveilleuses ! 

 

    Souvenez-vous que les choses les plus précieuses de la vie ne peuvent s'acheter. 

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