Naoko94 Posté(e) le 23 juillet 2016 Signaler Posté(e) le 23 juillet 2016 Il y a 16 heures, jeux-de-l-ame a dit : tiens j'ai trouver cela c'est un regroupement de sites de contes http://www.apple-paille.com/contepourenfants/echange.htm hésite pas a poster ici tes préférés Oh ! ça m'intéresse aussi (contrairement à l'impression que j'ai laissé, j'adore les contes) donc merci ^^ jeux-de-l-ame 1
jeux-de-l-ame Posté(e) le 28 juillet 2016 Auteur Signaler Posté(e) le 28 juillet 2016 une histoire du net disparue hélas qui donne envie de pas rater son couple Je revenais à la maison, ma femme servait le souper. Je lui ai pris la main et lui ai dit : j’ai quelque chose à t’annoncer. Elle s’assis et mangea tranquillement sans dire un mot. Encore une fois je vis la peine dans ses yeux. Soudainement je ne savais plus ouvrir la bouche. Mais je devais lui faire part de ce que je pensais. Je veux divorcer. J’ai soulevé le sujet calmement. Elle n’a pas semblé contrarié par mes paroles, elle m’a simplement demandé.. Pourquoi? J’ai fui sa question. Elle s’est alors fâchée. Elle lança les baguettes et cria vers moi, t’es pas un homme! Ce soir-là nous ne nous sommes pas adressé la parole. Elle pleurait. Je savais qu’elle voulait savoir ce qui était advenu de notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une explication satisfaisante, elle avait perdu mon coeur pour Marie-Ève. Je ne l’aimais plus. J’avais seulement de la pitié pour elle. Avec une énorme culpabilité, je lui fis part de mes arrangements pour le divorce, que je lui léguais la maison, l’auto et je mettais en jeu 30% de mon entreprise. Elle y jeta un coup d’oeil et le détruisit en morceaux. Cette femme qui avait passé 10 ans de sa vie avec moi, était devenue une étrangère. J’étais désolé pour elle de ce temps gaspillé, de ressource et d’énergie, mais je ne pouvais reprendre ce que je venais de lui dire, car j’aimais beaucoup Marie-Ève. Soudainement elle s’est mise à pleurer très fort devant moi, ce à quoi je m’attendais. Dans le fond, ses pleurs étaient pour moi une délivrance. Cette idée de divorce qui m’obsédait depuis plusieurs semaines, me semblait maintenant plus ferme et claire. Le jour suivant, je suis revenu à la maison très tard, et l’ai trouvée assise à la table en train d’écrire. Je n’ai pas soupé et je suis directement allé me coucher et m’endormir aussitôt car j’étais fatigué de ma journée mouvementée avec Marie-Ève. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours assise à la table à écrire. Je ne m’en suis pas occupé, je me suis retourné de côté et rendormi à nouveau. Au matin elle me présenta ses conditions de divorce : elle ne voulait rien de moi, mais avait besoin d’un mois d’avis avant le divorce. Sa requête était que, durant ce mois, nous devions tous deux se battre pour vivre une vie aussi normale que possible. Sa raison était simple : notre fils devait passer un examen à la fin de ce mois-là et ne voulait en aucun cas, le déranger avec un mariage brisé. C’était parfait pour moi. Mais elle ajoutait autre chose, elle me demanda de lui rappeler comment je l’avais transportée dans notre chambre nuptiale le jour de notre mariage. Sa deuxième requête était que durant ce mois, je devais la transporter de notre chambre au seuil de la porte tous les matins. Je croyais qu’elle devenait folle. Pour faire de ses derniers jours supportables, j’acceptais son étrange requête. J’avisais Marie-Ève des étranges conditions de divorce. Elle s’est mise à rire et croyait elle aussi, que c’était absurde. Marie-Ève me dit avec mépris, que peu importe les ruses qu’elle prendrait, elle devait faire face au divorce. Ma femme et moi n’avions plus aucun contact physique depuis que j’avais pris la décision de divorcer. Alors quand j’ai dû la sortir de la chambre le premier jour, nous étions tous les deux maladroits. Notre fils applaudissait derrière nous, papa porte maman dans ses bras. Ces mots m’apportaient de la peine. De la chambre au salon, ensuite à la porte, j’ai marché environ 10 mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et me demanda doucement de ne pas parler du divorce à notre fils. J’ai fait oui de la tête, j’ai ressenti un étrange sentiment plutôt bouleversant. Je l’ai déposée par terre à l’extérieur de la porte. Elle est partie attendre l’autobus pour le travail. J’ai conduit seul jusqu’au bureau. Le deuxième jour, tous les deux agissions plus facilement. Elle s’appuya sur mon estomac. Je pouvais sentir la fragrance de sa chemise. Je réalisais que je n’avais pas regardé cette femme attentivement depuis un bon bout de temps. Je réalisais qu’elle n’était plus jeune. Il y avait des rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient ! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pour une minute je me suis demandé ce que je lui avais fait. Le quatrième jour, j’ai ressenti un retour d’intimité. C’est cette femme qui m’avait donné 10 ans de sa vie. Le cinquième et sixième jours, je réalisais que l’intimité ressentie grandissait à nouveau. Je n’ai pas parlé de ceci à Marie-Ève. Il était plus facile de la transporter au fur et à mesure que le mois avançait. Peut-être que ce travail chaque jour me rendait plus fort. Un matin qu’elle tentait de choisir quoi porter, elle essaya quelques robes mais ne parvenait pas à trouver la convenable. Elle murmura que toutes ses robes étaient devenues trop grandes. Soudainement je prenais conscience qu’elle avait maigri, et c’est la raison pour laquelle je pouvais la transporter plus facilement. Ça me frappa… elle avait enterré tant de peine et d’amertume dans son coeur. Inconsciemment j’ai atteint et touché sa tête. Notre fils est arrivé à ce moment et a dit : « papa il est temps de porter maman dehors ». Pour lui, voir son père transporter sa mère dehors était devenu une partie essentielle à sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra très fort. J’ai tourné la tête parce que j’avais peur en cette minute de changer d’idée. Je l’ai ensuite prise dans mes bras, marchant de la chambre au salon et dans l’entrée. Elle mit ses bras autour de mon cou tout doucement et naturellement. J’ai tenu son corps serré, c’était comme le jour de notre mariage. Mais sa maigreur me rendait triste. Le dernier jour, lorsque je l’ai prise dans mes bras, je pouvais à peine bouger d’un pas. Notre fils était parti pour l’école. Je la tenais fermement et lui dit: « je n’avais pas remarqué que notre vie avait manqué d’intimité ». Je conduisis jusqu’au bureau… Rapidement je sautai hors du véhicule, sans barrer les portes. J’avais peur qu’un seul délai puisse me faire changer d’idée… Je montais les marches. Marie-Ève ouvrit la porte et je lui dis : « désolé Marie-Ève, je ne souhaite plus divorcer maintenant ». Elle me regarda sidérée et me toucha le front. Fais-tu de la fièvre? Je retirai sa main de mon front. Désolé Marie-Ève, mais je ne divorce pas. Ma vie de mariage était probablement devenue ennuyeuse parce que, ni elle ni moi n’avions évalué les détails de nos vies, mais non parce que notre amour était mort. Maintenant je réalise que depuis le jour ou je l’ai transportée dans notre demeure le jour de notre mariage, c’est mon devoir de la soutenir jusqu’à ce que la mort nous sépare. Marie-Ève semblait soudainement comprendre. Elle me gifla violemment et claqua la porte puis éclata en sanglots. Je redescendis l’escalier et je suis parti. En route, j’arrêtai chez un fleuriste, j’ai commandé un bouquet de fleurs pour mon épouse. La vendeuse me demandait ce qu’elle devait écrire sur la carte. Je souris et écrivis « je te porterai dehors tous les matins jusqu’à ce que la mort nous sépare ». Cet après-midi-là j’arrivais à la maison, fleurs à la main, sourire aux lèvres, je montais les marches à la course, pour retrouver ma femme seule dans son lit – morte. Ma femme se battait contre un cancer depuis des mois, mais j’étais tellement préoccupé avec Marie-Ève que je ne m’en suis jamais aperçu. Elle savait qu’elle allait mourir sou peu et elle voulait me préserver, peu importent les réactions négatives de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. – Au moins, aux yeux de mon fils – je suis un mari aimant… Les plus petits détails de votre vie sont ce qui compte vraiment dans une relation; ce n’est pas la maison, l’auto, la propriété, l’argent en banque. Ceci crée un environnement favorable pour la joie mais ne peut donner la joie à soi-même. Alors trouvez du temps pour être l’ami de votre époux ou épouse et faites ces petites choses l’un pour l’autre qui créent l’intimité. Réglez vos problèmes, communiquez, et soyez heureux.
jeux-de-l-ame Posté(e) le 28 juillet 2016 Auteur Signaler Posté(e) le 28 juillet 2016 The Queen And The Soldier (La Reine Et Le Soldat) The soldier came knocking upon the queen's doorLe soldat vint frapper à la porte de la reineHe said, “I'm not fighting for you anymore”Il dit : « Je ne me battrais plus jamais pour vous ».The queen knew she'd seen his face someplace beforeLa reine savait qu'elle avait déja vu ce visage quelque part auparavantAnd slowly she let him insideEt doucement elle le laissa entrer. He said, “I've watched your palace up here on the hillIl dit : « Je regardais votre château la haut sur la collineAnd I've wondered who's the woman for whom we all killEt j'ai souhaité connaître la femme pour laquelle nous avons tant tué.But I am leaving tomorrow and you can do what you willMais je pars demain, vous pourrez alors faire ce que vous voudrez,Only first I am asking you why. ”Mais d'abord je vous demande pourquoi ? » Down the long narrow hall he was ledLe long d'un étroit couloir il fut conduitInto her room with her tapestries redVers sa chambre avec des tapisseries rouges.And she never once took the crown from her headEt jamais elle n'enleva la couronne de sa tête.She asked him there to sit downElle lui demanda de s'asseoir. He said, ”I see you now, and you are so very youngIl dit : « Je vous vois maintenant, et vous êtes si jeune.But I've seen more battles lost than I have battles wonMais j'ai vu plus de batailles perdues que de batailles gagnées,And I've got this intuition, says It's all for your funEt j'ai eu cette intuition, qui me dit que c'est pour votre seul plaisir.And now will you tell me why ? ”Et maintenant me direz vous pourquoi ? » The young queen, she fixed him with an arrogant eyeLa jeune reine, elle le regarda d'un oeil arrogant.She said, ” You won't understand, and you may as well not tryElle dit : « Vous ne pouvez pas comprendre, et peut-être n'essayez vous-même pas ».But her face was a child's, and he thought she would cryMais son visage était celui d'un enfant, et il crut qu'elle aller pleurer.But she closed herself up like a fan.Mais elle se referma sur elle-même comme un éventail. And she said, ”I've swallowed a secret burning threadEt elle dit : « Je garde en moi un secret qui se consume lentementIt cuts me inside, and often I've bled”Il me taillade les entrailles, et souvent j'ai saignée »He laid his hand then on the top of her headIl tendit ses bras au dessus de sa têteAnd he bowed her down to the ground.Et il l'inclina vers le sol. “Tell me how hungry are you ? How weak you must feel« Dites-moi qu'elle est cette faim en vous ? Combien de faiblesses ressentez-vous ?As you are living here alone, and you are never revealedAussi, vous vivez ici seule, et vous ne vous êtes jamais confié.But I won't march again on your battlefield”Mais je ne marcherais plus sur vos champs de batailles ».And he took her to the windows too see.Et il l'emmena vers la fenêtre pour voir. And the sun, it was gold, though the sky, it was grayEt le soleil, il était doré, bien que le ciel, lui, soit grisAnd she wanted more than she ever could sayEt elle en désirait plus que ce qu'elle n'avait jamais voulu direBut she knew how it frightened her, and she turned awayMais elle savait combien ça l'effrayait, et elle se retournaAnd would not look at his face againEt elle ne voulu pas regarder de nouveau ce visage And he said, ”I want to live as an honest manEt il dit : « Je veux vivre comme un honnête hommeTo get all I deserve and to give all I canD'avoir tout ce que je mérite et de donner tout ce que je peuxAnd to love a young woman who I don't understandEt d'aimer une jeune femme que je n'arrive pas à comprendre,Your highness, you ways are very strange”.Votre majesté, vos voies sont si étranges » But the crown, It had fallen, and she thought she would breakMais la couronne, qui était tombée, elle pensait qu'elle s'était abîméeAnd she stood the, ashamed of the way her heart achedEt elle restait là, honteuse de ce que lui dictait son coeur meurtriShe took him to the doorstep and she asked him to waitElle l'emmena vers le pas de la porte et lui demanda d'attendreShe would only be a moment insideElle voulait juste restait un instant seule Out in the distance her order was heardAu loin un ordre fut entenduAnd the soldier was killed, still waiting for her wordEt le soldat fut tué, attendant toujours sa réponseAnd while the queen went on strangling in the solitude she preferredEt quant la reine retourna dans la solitude étouffante qu'elle préféraitThe battleLa batailleContinued onContinuait
jeux-de-l-ame Posté(e) le 23 août 2016 Auteur Signaler Posté(e) le 23 août 2016 TROP DE RICHESSES NUISENT PARFOIS AU BONHEUR... Un jour qu'une dame le consultait et qu'il venait de lui dire que trop de richesses nuisaient parfois au bonheur, Benjamin Franklin s'aperçut que sa visiteuse secouait la tête d'un air incrédule ... Alors prenant une pomme dans un panier plein de fruits, qui se trouvait là, il appela un enfant qui jouait dans la pièce voisine et lui fit présent de la pomme. L'enfant pouvait à peine la tenir dans sa petite main... Franklin lui en offrit une seconde, que le bambin, tout joyeux, prit de l'autre main. Puis, choisissant une troisième pomme, plus belle encore que les 2 premières, il la lui tendit de la même façon... L'enfant serra alors ses 2 mains pleines contre sa poitrine, et essaya de prendre et de retenir le dernier fruit avec l'aide des deux autres. Mais ses efforts furent inutiles... La troisième pomme tomba sur le tapis, et il fondit en larmes. Alors Franklin se tourna vers la dame : « Voici, dit-il, un petit homme qui a trop de richesses pour pouvoir en jouir. Avec 2 pommes, il était heureux... Il ne l'est plus avec 3. » Y a-t-il dans votre vie des domaines où vous avez trop de richesses ?
jeux-de-l-ame Posté(e) le 24 août 2016 Auteur Signaler Posté(e) le 24 août 2016 Les sept merveilles du monde Un professeur demanda à un groupe d’étudiants : - Faites-moi une liste de ce que vous considérez être les sept merveilles du monde actuel. Certains pensèrent à citer l'Everest, Venise, La Mecque, le château de Versailles, le Kremlin, l'île de Pâques, les gratte-ciel, la Tour Eiffel, les chutes du Niagara, la banquise, la forêt amazonienne, la conquête spatiale... Malgré quelques désaccords, la majorité d’entre eux firent les réponses suivantes (sans ordre particulier) : Les Pyramides d’Egypte Le Taj Mahal La Grande Muraille de Chine Rome et la basilique Saint Pierre Le Grand Canyon Les chutes du Zambèze Les lignes de Nazca Alors qu'il ramassait les réponses, le professeur se rendit compte qu'une élève n'avait pas encore remis sa feuille. Il lui demanda si elle éprouvait de la difficulté à terminer sa liste. L'élève lui répondit : - Oui, un peu. Je n'arrive pas à me décider car il y a tellement de merveilles dans le monde. Le professeur lui répondit : - Hé bien, dis-nous ce que tu as trouvé et peut-être que nous pourrons t'aider... La jeune fille hésita, puis dit : - Je crois que les sept merveilles du monde sont : la vue l'écoute le toucher le goût le sourire les émotions l'amour La classe resta silencieuse. Ces choses sont tellement simples et ordinaires que nous oublions à quel point elles sont merveilleuses ! Souvenez-vous que les choses les plus précieuses de la vie ne peuvent s'acheter.
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