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Criterion : L'arcade explosive. Peu connu pour ses jeux PC ou Dreamcast de 1996 à 2000 (Scorched planet, TrickStyle, Deep Fighter...), Criterion est surtout associé à la saga Burnout. Un jeu de course arcade innovant: A l'heure où les jeux de course arcade se faisaient moribonds, sort un peu dans l'anonymat Burnout, un jeu de course dynamique où les pilotes doivent se faufiler au milieu de la circulation au cours d'une course où les crachs se veulent spectaculaires. Si techniquement le jeu n'est pas révolutionnaire, son système de crash en course ne laisse pas les joueurs indifférents. C'est surtout à partir du deuxième épisode, Burnout 2 : Point of Impact, que le succès arrive. Notamment parce que le jeu est bien plus beau. Mais aussi, les circuits se font plus nombreux, plus variés et plus techniques aussi. La conduite gagne en vitesse et en maîtrise tandis que la visibilité reste parfaite. Si l'on se crashe souvent dans Burnout 2, la plupart du temps on ne peut s'en prendre qu'à soi-même, ce qui ne sera pas toujours le cas pour les épisodes suivants. L'arrivée du mode crash ajoute un côté défoulant au titre : il s'agit de provoquer le plus gros carambolage possible en projetant son véhicule dans la circulation. Très convivial à plusieurs bien que l'on joue chacun son tour. Burnout 2 est l'un des épisodes les plus maîtrisés vis-à-vis de la conduite des véhicules. C'est ce qui en fait un des épisodes préférés des joueurs. Le troisième épisode désertera le Gamecube de Nintendo pour offrir toujours plus aux possesseurs de xbox et PS2. Burnout 3 Takedown pousse encore plus loin le côté arcade explosive de la série avec l'ajout de plusieurs modes de jeu et surtout les fameux takedown! Il suffit de bousculer l'adversaire pour le sortir de la piste dans un crash au ralenti spectaculaire. L'ensemble se révèle très aisé à prendre en main, mais pas dénué de subtilités grâce aux défis à remplir pour finir à 100% le jeu. On est ainsi obligé de varier les takedowns, d'éliminer un certain nombre d'adversaires au cours d'une course... Le mode crash prend un aspect plus tactique bienvenu, avec un contrôle relatif du véhicule après carambolage et des multiplicateurs de score à récupérer. Burnout 3 est de surcroît extrêmement rapide et tapageur en effets visuels. Les véhicules, toujours plus nombreux, ont des caractéristiques variées dont il faut tenir compte pour parvenir à la victoire. La série continue de progresser au fil des épisodes et l'arrivée de Burnout Revenge s'avère être l'ultime version du concept de la série. La consécration en HD: Burnout Revenge vient taquiner la nouvelle génération de consoles avec une version sur xbox 360 qui n'est plus ou moins qu'un passage en HD de la version PS2/xbox. On retiendra surtout pour ce volet une meilleure interface, des tracés plus subtils, encore plus de Takedowns à réaliser et un mode crash parfaitement maîtrisé avec l'ajout de la gestion du vent et de faire grimper une jauge pour faire exploser son véhicule au milieu de la zone de crash. Le déluge d'effets spéciaux et la vitesse du jeu poussaient les PS2 et Xbox au maximum. On oubliera vite Burnout Domination sorti ensuite sur PS2 qui n'apporte pas grand chose à la formule si ce n'est de nouveaux environnements. Pire, il n'y a plus de mode crash dans cet épisode. Les regards sont d'ailleurs tous tournés à ce moment-là sur le véritable nouvel épisode : Burnout Paradise sur consoles HD. C'est l'épisode des grands changements qui devaient donner un nouveau souffle à la série. Fini les circuits prédéfinis, bienvenue à la ville ouverte et au jeu en ligne. Paradise City est vaste et se parcoure avec plaisir grâce à une prise en main toujours aussi immédiate bien qu'un poil trop permissive. Il y a de nombreux éléments à détruire disséminés à travers la ville, du simple panneau en bord de route à ceux perchés sur les immeubles dont il faudra trouver le moyens de les pulvériser en dénichant tous les raccourcis et tremplins de Paradise City. Bienvenue à Paradise City, où il ne vaut mieux pas être piéton. Si on retrouve plus ou moins les mêmes modes de jeu que dans les épisodes précédents, on ne les aborde plus de la même manière puisqu'il n'y a plus de circuits à proprement parler. Chaque carrefour de la ville est un point de départ pour un défi (course, survie, takedown...). Seul la ligne d'arrivée importe et c'est au joueur de choisir son chemin et de dénicher les meilleurs passages lui permettant de franchir la ligne le premier, de réaliser les meilleurs takedown ou d'échapper à ses poursuivants très agressifs. Il y a de quoi se sentir perdu au départ et le niveau de difficulté rapidement élevé n'aide pas à se plonger dans le jeu. Mais une fois Paradise City mieux connue, on découvre une nouvelle façon d'aborder le jeu de course avec une liberté jouissive. Le plaisir de jouer à Burnout Paradise est ensuite décuplé grâce au jeu en ligne avec la possibilité de défier ses amis sur n'importe quelle course et même de créer ses propres tracés! Les motos se joignent à la fête et sont parfaitement jouables. Deux DLC sont aussi à retenir :le premier permet de jouer avec les motos pour une nouvelle expérience de conduite sympathique tandis que le second introduit une nouvelle zone de jeu où peuvent s'ébattre les buggys! Burnout Paradise offre donc un épisode novateur très abouti, dont on regrettera juste un mode crash devenu anecdotique. A réserver aux fans, un sympathique hommage a été rendu au mode crash de Burnout avec l'épisode téléchargeable Burnout Crash qui lui est entièrement consacré. La saga Burnout a aussi connu un épisode portable Burnout Legends : sympathique sur PSP et anecdotique sur Nintendo DS. Un moteur d'exception: La saga Burnout s'est révélée être une superbe vitrine technologique pour le moteur maison de Criterion, le Renderware. Longtemps commercialisé dans ses multiples versions, on lui doit de nombreux jeux tels Crackdown, Battlefield 2: Modern Combat, Bully, Cold Fear, les GTA III, Vice City et San Andreas, Killer 7, Max Payne 2, Shadow the Hedgehog, Sonic Heroes, Suikoden III, Total Overdose... La variété des genres et la qualité de nombre de ces titres illustrent d'elles-même la valeur du moteur de Criterion. Son succès auprès des développeurs vient aussi du Renderware Studio destiné à faciliter le travail de groupe et les portages multiplateformes. Une version « éducation » du Renderware 3 est distribuée gratuitement, tandis que le Renderware 4 n'est plus commercialisé suite au rachat du studio par Electronic Arts. Ce n'est pas tant du à la volonté du géant américain qu'à la réticence des éditeurs concurrents d'utiliser une technologie appartenant à EA. Criterion Games n'est pas parmi les studios les plus médiatisés mais jouit toutefois d'une grande réputation grâce à son moteur performant et l'aide qu'ils apportent à leurs clients. Jeux de lumière, fumée volumétrique, décors destructibles... Black en mettait plein la vue sur PS2 et Xbox. En 2006, Criterion Games s'est aussi attaqué au FPS avec Black. FPS pas si bourrin qu'il n'y paraissait, à la réalisation léchée offrant une profusion d'éléments destructibles, d'effets de particules et des armes aux sensations puissantes. Bien qu'assez court, Black s'avère une expérience intense qui assoie l'image d'arcade explosive du studio. Je reviendrai en détail sur ce jeu mal aimé à cause de sa durée de vie dans un prochain article. Criterion suite au rachat par Electronic Arts : Désormais racheté par EA, l'éditeur leur a confié la branche arcade de la saga Need for Speed pour un retour aux sources réussi, à mi-chemin entre un Burnout et les anciens Hot Pursuit. Leur premier essai NFS Hot Pursuit est plutôt bon. Le jeu est rapide, reprend le principe de poursuite avec les forces de l'ordre et y apporte un côté plus dynamique. Seuls les environnements qui manquent de variété et la conduite trop speed qui perd en subtilité peuvent lui être reproché. NFS Hot Pursuit renoue avec les origines de la saga avec la patte explosive de Criterion en plus. Le studio poursuit ensuite sa revisite des succès de la licence avec un NFS Most Wanted qui assure l'essentiel sans vraiment conservé l'âme de son illustre aîné. L'absence de scénario et la multiplication d'épreuves qui ne se distinguent guère les unes des autres plombe l'intérêt du titre sur le long terme. Il reste un bon jeu de course arcade qui offre ce qu'il se fait de mieux sur la licence surtout côté multijoueur. NFS Most Wanted reste un bon jeu, mais il a déçu les fans du premier volet. Si les rumeurs d'un nouveau Burnout sont allées bon train il y a quelques années, nous nous sommes finalement fait à l'idée que les développeurs étaient passés à autre chose. Il est cependant étonnant qu'en dehors du sympathique Split Second, personne n'ait tenté de reprendre le flambeau du genre. A croire que Criterion a placé la barre trop haut pour que d'autres s'y frottent. Aujourd'hui, le studio travaille sur un jeu compilant plusieurs sports extrêmes en monde ouvert sous le nom de code Beyond Cars. Mais en dehors de quelques artworks et images datant de l'E3 2015, il n'y a guère d'infos concernant ce jeu pourtant en développement depuis plus de 3 ans. Espérons qu'il ne finisse pas par être annulé ou devienne un de ces vaporwares qui sortent après tellement longtemps qu'ils sont déjà dépassés à leur sortie. D'autre part, d'anciens de chez Criterion ont fondé Three Fields Entertainment et avaient promis de ressusciter l'esprit de Burnout dans leur prochain jeu. Ils ont récemment présenté leur projet plutôt surprenant qui sortira en dématérialisé sur consoles et PC... Il s'agit d'un jeu de... Golf. Oui, oui, un jeu de golf à la sauce Burnout, soit tout aussi arcade et explosif !!! Les premières images de Dangerous Golf ont effectivement quelques points commun avec le célèbre jeu de course. Criterion Games avec sa réputation explosive de faiseur d'arcade décomplexée, brutale et jouissive, est très attendu par les fans de la saga Burnout et Need for Speed, leur prochain jeu se fait attendre et il ne faudra pas décevoir leur public s'ils veulent renouer avec le succès médiatique. Compte tenu de leur savoir-faire en arcade explosive, si le studio devait nous proposer une nouvelle licence, quel genre de jeu aimeriez-vous les voir réaliser?
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Playstation VR : à quoi va servir le boîtier externe ?
mellow a répondu à un(e) sujet de Minstery dans Nouvelles technologies
Perso, j'attends de voir les jeux qu'il y aura dessus. Malgré l'engouement apparent des constructeurs et développeurs, j'ai du mal à croire que la VR envahira les salons de Mr Toutlemonde, ni même celui des Mr Geek total. A l'image de la 3d ou du PS Moove, passé l'effet de mode, la VR a-t-elle vraiment la possibilité de durer longtemps et de se voir developper un catalogue soutenu? Du coup, l'achat ne sera pour moi que dans plusieurs mois s'il doit avoir lieu, histoire de ne pas me retrouver avec un accessoire coûteux qui prends la poussière.- 10 réponses
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Nintendo NX – La console aux rumeurs les plus folles ? Officialisée par le défunt Satoru Iwata le 17 mars 2015 lors d'une conférence de presse, la Nintendo NX fait couler beaucoup d'encre alors que Nintendo n'a pratiquement révélé aucune info la concernant. Mais entre les dépôts de brevets étonnants, les nouveaux partenariats avec DeNA, Sharp ou peut-être aussi AMD, beaucoup se livrent au jeu du décryptage et des fuites provenant toujours de « sources sûres » jusqu'à ce qu'elles soient démenties… Satoru Iwata est décédé le 11 juillet 2015. Alors, un an après son annonce, que savons-nous vraiment ? 1- Console de salon ou nomade ? La seule information officielle à ce sujet, c'est que la NX sera une console d'un tout nouveau genre. Satoru Iwata a aussi précisé que cela sous-entendait qu'il ne s'agissait pas simplement d'un hardware de remplacement de la Wii U ou de la 3DS et qu'il s'agissait de proposer aux joueurs une nouvelle façon de jouer en fonction des spécificités et habitudes de jeu dans différents pays. Autant dire que l'ancien pdg de Nintendo nous a laissé complètement dans le flou. Suite au partenariat signé avec DeNA, société spécialisée dans le jeu mobile, les rumeurs d'une console sous système Androïd s'est vite répandue mais à tout aussi vite été démentie par Nintendo. Cependant, plusieurs dépôts de brevets ont maintenu l'idée que la NX serait une console portable, potentiellement reliable à une TV. (Nous y reviendrons). Jusqu'à ce que Reggie Fils-Aimé déclare en interview : « Nous avons également dit publiquement que nous travaillons d'ores et déjà très dur sur notre prochaine console de salon et c'est quelque chose dont nous parlerons bien plus tard. » La NX sera donc la nouvelle console de salon de Nintendo… Mais est-ce si simple ? D'après des échanges entre Nintendo et Amazon au sujet de leur plateforme de distribution d'applications Androïd, il en ressort que la console émulerait des applications Androïd… ce que certains ont interprété comme la possibilité de commencer à jouer sur NX et de finir la partie sur sa tablette ou son mobile… Mais rien de vraiment concret ne venait corroborer cette interprétation. C'est un dépôt de brevet qui est venu confirmer plusieurs hypothèses et rumeurs concernant la NX. Ce brevet (voir schéma ci-dessous) révélé en août 2015 mais déposé dès février de la même année explique que la console serait dépourvue de lecteur optique. Nintendo serait alors le premier a ce lancer une console de salon fonctionnant uniquement en dématérialisé, la présence d'une connectivité à haute vitesse venant appuyer ce principe de téléchargement. Brevet sur l'architecture possible de la NX. D'autre part, la manette de la NX disposerait d'un écran. L'expérience de la « mablette » de la Wii U n'aura donc pas échaudé Nintendo qui persiste dans cette voix. Ce que confirme Miyamoto himself : « Après la Wii U, nous espérons que la prochaine tentative sera une réussite » dit-il à propos de la manette-écran supposée équiper la NX. Un nouveau brevet vient en décembre étayer la manette à écran. Celui-ci est le plus intéressant et innovant techniquement, mais soulève aussi beaucoup de questions. On apprend ainsi que l'écran pourrait couvrir toute la surface du pad qui ici a une forme d'ovale, chose possible grâce à une technologie Sharp, le Free Form, dont Nintendo s'était déjà dit intéressée. Il serait tactile et disposerait d'un affichage 3D comme la 3DS. Deux « trous » sur les côtés de l'écran serviraient pour des sticks, dont les fonctions variables s'afficheraient à côté sur l'écran. D'autre part, un port carte SD serait aussi présent. Tout cela peut laisser penser que le pad pourrait être indépendant de la console de salon et plusieurs rumeurs vont dans ce sens. Un autre brevet plu récent se concentre sur les gâchettes qui seraient clicables et rotatives, à la manière d'une molette de souris. Illustrations du brevet de gamepad/écran. Les différentes fonctions des sticks apparaissent sur l'écran. Enfin, un dernier brevet fait état de capteurs sur tous les côtés de la manette qui ressemble de plus en plus à un gamepad Wii U amélioré. Ces capteurs seraient capables de détecter les mouvements, la position de la manette dans l'espace, notamment pour orienter l'écran dans le bon sens, mais aussi de scanner des codes barre ou flashcodes et les puces NFC des Amiibos. Si tous ces éléments sont effectivement intégrés à la nouvelle manette de la NX, il faut vraiment s'attendre à de nouvelles expériences de jeu… à condition que Nintendo et les éditeurs tiers se donnent la peine d'utiliser toutes ces étranges fonctions. Mais les rumeurs ne s'arrêtent pas là et on entend aussi souvent parler de la possibilité de passer des appels téléphoniques, via abonnement spécifique ou via connection bluetooth complète permettant de faire transiter les appels sur votre smartphone vers la console. Beaucoup annoncent aussi des fonctions réseau étendues avec un service gratuit et un autre payant, un peu comme le xbox live silver et gold. L'offre premium payante donnerait accès à un catalogue de 150 jeux renouvelés partiellement régulièrement ainsi qu'à la rétrocompatibilité Wii et Wii U. Des systèmes de récompenses comme les trophés et succès devraient faire leur apparition. Un fake de la NX. Les dernières rumeurs annoncées par un habitué des fuites qui se révèlent souvent exactes annoncent des sticks analogiques avec retour haptique, c'est-à-dire offrant une résistance variable et paramétrable. Imaginez Link marchant dans la neige demandant une pression plus forte sur le stick que s'il court sur des pavés. Enfin, un dongle HDMI permettrait de relier la machine à n'importe quel écran sans fil avec des capacités de streaming bien plus performantes que celles de la Wii U avec son gamepad. 2- Quelle puissance ? L'annonce d'AMD de l'ouverture prochaine d'un troisième marché pour les puces APU (qui combinent CPU et GPU et qui sont installées sur PS4 et Xbox One) a très vite permis de penser que la NX disposerait d'une architecture proche de celle de ses concurrents. Ce qui s'avère plutôt logique pour faciliter le travail de portage d'une machine à l'autre et donc renouer avec les productions d'éditeurs tiers sur console Nintendo. D'autant qu'après présentation secrète et distribution des premiers kits de développement, l'industrie semble réagir très positivement au projet NX. Même si certains studios plus modestes comme Moon Studio (Ori and the blind forest) ou Coldwood (qui souhaite porter Unravel sur NX) se plaignent du silence de Nintendo et de l'impossibilité d'obtenir un dev-kit. Un nouveau brevet, datant de 2014 et révélé en décembre 2015, vient confirmer encore l'idée d'une console de salon et d'une console nomade. Celui-ci va même encore plus loin en précisant que les consoles de salon pourraient partager leur puissance de calcul entre elles, voir d'autres supports. Entrons un peu plus dans les détails : Le système NX serait donc une console à laquelle s'ajouterait un périphérique nomade à la fois indépendant et chargé d'apporter un supplément de puissance de calcul à l'unité principale. Il serait même possible de chaîner ces périphériques les uns aux autres. Outre les avantages d'un surcroît de puissance pour assurer par exemple la stabilité d'un jeu multijoueur, la NX pourrait voir sa puissance évoluer dans le temps avec de nouveau périphériques extérieurs. D'autre part, la partie nomade bénéficierait de la puissance de la console de salon lorsque les deux seraient liées, mais pas en nomade. Toutefois, on pourrait bénéficier de la puissance des computer devices (voir schéma ci-dessous) pour l'unité nomade via connection wifi ou par le biais d'une autre console de salon NX située à proximité. Brevet de la probable NX et de son principe d'interconnectivité. Nintendo souhaite donc partager les ressources de l'ensemble du réseau de console comme un réseau wifi mutualisé (ce qui existe chez certains opérateurs de box internet). Nintendo prévoit même de récompenser ceux qui partageront leur puissance de calcul des computer devices de leur console via un système qui mesure la puissance partagée et serait lié à des récompenses comme des bons de réduction, des points pour le Club Nintendo ou des éléments de personnalisation pour la partie communautaire (avatars, Mii…). Une autre rumeur somme toute incroyable serait la compatibilité de la console avec des smartphones, pc et même la PS4. Ce qui donnait déjà une idée de la puissance possible de la machine. Reste à savoir dans quelle mesure une console Nintendo s'avérerait compatible avec une console Sony ? Une étrange fuite d'une page d'un guide technique qui serait fourni avec la console mentionne aussi une sorte de vidéo conférence, le streaming en 4K, la réalité augmentée et une résolution en 900p/60fps pour les jeux… La source de cette image n'est pas très fiable cependant. Les dernières rumeurs globalement fiables font état d'une architecture proche de ses concurrentes Xbox One et PS4 et d'une puissance identique à la Xbox One. 3- Date de sortie, premiers jeux ? Les dernières rumeurs évoquent une sortie en deux temps : L'unité mobile sortirait en novembre 2016 aux alentours de 200 €. Tandis que la console de salon proprement dite ne verrait le jour que courant 2017, laissant le temps à Nintendo de peaufiner les caractéristiques et fonctions de la console en fonction des premiers retours sur le support nomade. D'autres cependant affirment que la console de salon et son extension nomade seraient livrées ensemble pour la fin de l'année, vendues séparément ou non. Un autre fake s'inspirant des brevets révélés. Côté jeux, outre les licences phares made in Big N (on devrait rapidement tâté du Zelda Wii U version NX), Square Enix a déjà annoncé vouloir sortir Dragon Quest XI sur la nouvelle console Nintendo et de nombreux éditeurs se disent grandement intéressés par l'arrivée de la NX sans préciser leurs intentions même s'il est plus ou moins avéré que certains travaillent déjà sur des portages et versions NX de jeux en développement. 4- Ce qui est probable finalement : La Nintendo NX devrait donc être à la fois une console de salon ET une console portable interconnectées entre elles mais aussi avec toutes les autres NX. La nomade devrait servir de gamepad et bénéficier d'un écran tactile et de nouvelles fonctions physiques (sticks haptiques, gachettes rotatives?). Son architecture serait proche des PS4 et Xbox One dont elle s'inspire aussi en termes de fonctionnalités réseau (jeu en ligne, communautaire, trophés…), elle garderait toutefois une certaine philosophie « à la Nintendo » dans son interface tout en s'approchant un peu de celles des appareils Samsung. Mais plus que cela, elle se veut un concentré de nouvelles technologies au service du jeu et de l'interconnectivité. L'ensemble des rumeurs la concernant et surtout parmi les plus fiables, font état d'une machine capable d'officier comme console de salon classique, console portable type 3DS ou PS vita et même comme smartphone. La NX semble se vouloir dans son approche comme une sorte de synthèse de toutes les façons de pratiquer le jeu vidéo telles qu'elles existent aujourd'hui, mais aussi proposer plus ou mieux. Ce qui colle parfaitement avec ce qu'ont toujours dit les officiels de Nintendo au sujet de leur nouvelle console. Sachant les difficultés rencontrées par Nintendo pour expliquer et vendre le concept de mablette de la Wii U, il faut espérer que le marketing saura expliquer tout ce que sera cette nouvelle machine de meilleure façon si les rumeurs s’avèrent vérifiées. Il faudra aussi que Nintendo parvienne à convaincre les éditeurs tiers et les indépendants à s'intéresser à la NX pour enfin revenir dans la course face à une PS4 en pleine forme et une Xbox One qui semble trouver enfin son public. Y a-t-il encore la place pour Nintendo sur ce créneau ? Les spécificités de la NX sauront-elles faire la différence ? Vivement l'E3 2016 où la console devrait selon toute probabilité être enfin présentée pour lever le voile sur les mystères de la NX. Et si finalement Nintendo surprenait tout le monde avec une console entièrement tournée vers la réalité virtuelle ?
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Eh oui. C'est parfois très frustrant. Mais souvent, j'ai abandonné une énigme qui me causait des difficultés pour y revenir ensuite et trouver la solution en 2 minutes. Soit parce que d'autres puzzles m'ont entre temps aidé à comprendre la logique, soit parce que mon cerveau avait eu le temps de digéré le puzzle et d'en trouver la bonne approche. Aujourd'hui, j'ai tous les rayons activés et je suis entré dans la montagne. Je bloque un peu donc je suis reparti à la recherche des formes cachées dans l'environnement et il y en a vraiment partout et parfois des difficiles à dénicher.
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C'est vrai que les développeurs se sont inquiétés de voir que le jeu était en tête des téléchargements sur les sites de torrent dès sa sortie. Dur réalité pour un studio indépendant. Mais finalement le jeu se vend bien et à très vite dépassé les résultats de leur premier jeu. On peut supposer que beaucoup l'ont donc acheté après test... Il faut espérer.
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THE WITNESS Supports : PC, PS4. Développeur : Thekla (studio de Jonathan Blow) Editeur : Thekla Genre : puzzles, énigmes en monde ouvert. Après le succès de Braid en 2008, qui avait grandement contribué à la médiatisation de la scène indépendante, il aura fallu plus de 6 ans à Jonathan Blow pour concevoir son second jeu: THE WITNESS. Très attendu par les fans du développeur, le jeu avait su éveillé la curiosité et l'intérêt lors de ses diverses présentations sans pour autant nous éclairer pleinement sur ce qu'il était vraiment. Braid, le premier jeu de Jonathan Blow. Ici, un hommage à Donkey Kong. THE WITNESS est un jeu en monde ouvert dans lequel sont disséminées un peu partout 600 énigmes à résoudre. La majorité des énigmes résident à trouver le chemin logique sur des écrans où sont représentés des petits labyrinthes. L'île n'est pas très grande et le principe de base est toujours le même... Alors dit comme ça, ce n'est pas très rassurant... Et pourtant, THE WITNESS est fascinant pour plusieurs raisons. La première est qu'il ne vous prend jamais par la main et fait confiance à votre capacité de déduction pour comprendre par vous même les spécificités de chaque type de puzzle. Et si dans l'ensemble les énigmes ne sont pas trop difficiles, il vous arrivera de pester devant plus d'une, de l'abandonner, puis d'y revenir et d'en saisir subitement toute l'évidence. La seconde est qu'il y a une telle variété de puzzle que l'on ne se lasse jamais de revenir au jeu pour de plus ou moins longues cessions. Entre la logique des différents symboles à comprendre, les indices ou solutions à trouver dans l'environnement visuel ou sonore et les puzzles dissimulés ou plutôt intégrés directement dans le décor, il y a de quoi faire et vous poussez à explorer cette île de fond en comble. Enfin, THE WITNESS est une leçon magistrale de level design. Peut-être plus encore que ne le fut déjà Braid. Rien n'est disposé au hasard sur cette île et chaque point d'observation, chaque objet, chaque chemin, arbre et brin d'herbe (bon ok peut-être pas chaque brin d'herbe) se justifie par le propos et le gameplay du jeu tantôt comme composante même d'une énigme ou comme guide pour permettre au joueur de ne jamais être trop longtemps bloqué. Alors certes, THE WITNESS n'est pas un jeu pour tout le monde (allergiques aux jeux qui demandent de réfléchir passez votre chemin). Tout le monde ne parviendra pas au bout des 600 énigmes sans consulter une solution sur le web. Mais il vaut la peine que vous y jetiez tous un coup d'oeil pour découvrir ce bijou de game et level design dont nombres de jeux AAA à gros budgets sont complètement dépourvus. Je vous laisse avec une vidéo-test du jeu où je me suis efforcé de limiter les spoilers.
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La liberté d'expression n'est plus ce qu'elle était. Soucieux de ne pas se retrouver empêtré dans des procéduresjudiciaires coûteuses, les studios s'autocensurent pour la moindre fille sexy, une couleur de peaux reconnue à risque, une quête qui parle d'homosexualité... Tout ça à cause de personnes qui n'ont rien de mieux à faire que des procès d'intention à des jeux qui ne sont que ce qu'ils sont : des jeux vidéos. On se souvient des accusations de racisme vis-a-vis de Cap com pour RE5, celles de sexisme pour Ubisoft qui n'à pas modélisé de perso féminin dans AC Unité... Plus récemment Nintendo qui est accusé d'homophobie parce qu'une quête de Fire Emblem proposait une relation homo illusoire qui se transformait en relation hetero par guérison, comme si l'homosexualité devait être guérie. Ne peut-on tout simplement pas accepter que ce ne sont que des jeux vidéo et que, malgré quelques maladresses, la plupart du temps les développeurs ne se sont tout simplement pas posé la question sous tel ou tel angle. Ils font un jeu qui se déroule en Afrique, logique que les habitants locaux contaminés par un virus soit noirs de peaux. On n'en ferait pas une affaire de racisme s'il s'agissait d'Espagnols dans un village non? Ce coup-ci on nous dit qu'il ne faut pas froisser les amérindiens?! J'em... Les amérindiens s'ils sont assez cons pour se froisser pour ça. Ne nous voilons pas la face, il s'agit surtout de ne pas tomber dans le colimateur des associations puritaine américaines qui feraient une mauvaise pub au jeu. Alors qu'on lutte contre le terrorisme islamique pour soit disant défendre notre liberté d'expression, on se laisse emprisonner dans un mode d'expression formaté toléré par un élite bien pensante? Comparer les propos tenus dans des émissions tv des années 80 et ceux jugés scandaleux aujourd'hui et vous verrez à quel point la liberté d'expression est déjà réduite en France et partout en occident. Alors, sous prétexte de n'a pas froisser tel ou tel public, ne fait-on pas en réalité exactement la même chose que les extrémistes? Sauf qu'on est parvenus à le faire de manière que le peuple l'accepté et s'en félicite même. Arrêtons de faire de la pub pour la censure en parlant de ces soit-disant actes choquants dans les jeuX vidéo ' surtout la presse spécialisée qui en rajoute des tonnes à chaque fois. Soucions nous plus de la qualité du gameplay, des jeux qui sortent ultra buggés avant de subir un patch plus ou moins correctif, des serveurs pourris de certains éditeurs qui vous font pourtant payer le prix fort.... Et laissons en paix les développeurs qui s'expriment certes parfois maladroitement sur des sujets litigieux ou qui justement ne le font pas mais qu'on interprète comme tel. Ça vous choque la façon dont on traite les femmes dans DOA Extrême? Alors n'y jouez pas, un point c'est tout. Ça vous gêne qu'un plombier moustachu sauve une pauvre fille incapable de ne pas être kidnappée toutes les 5 minutes, oubliez Mario! Mais laisser jouer et créer ceux qui sont suffisamment intelligents pour comprendre que Mario ne se soucie pas de la place des femmes dans nos sociétés, mais de nous offrir un gameplay au petits oignons sans nous embarrasser d'une histoire complexe et qui joue justement sur un cliché universel pour s'assurer de la compréhension de l'objectif par tous et se concentrer sur le jeu et rien d'autre! On pourrait en faire un dossier de 12 pages de tous ces jeux qui se voient stigmatiser sans vrai raison, je vais m'arrêter là parce que ce serait continuer à faire le jeu de la censure que d'en parler.
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Le premier Prince of Persia (Apple II, 1989) a marqué toute une génération de joueurs par la qualité de ses animations et de son gameplay. Il fut porté sur une vingtaine de plateformes et traduit en six langues pour un total de ventes dépassant les deux millions d'exemplaires. Mention spéciale à la version étendue sur Super Nintendo et celle sur Amiga pour sa fluidité. A savoir qu'une refonte complète en HD existe sur 360 et PS3 qui remet au goût du jour cet excellent jeu. Cependant, la difficulté de l'époque peut s'avérer un frein pour certains. Bien que plutôt réussis, les épisodes suivants ne parviendront pas à soulever le même enthousiasme que l'épisode fondateur. Puis, la licence renaît en 2003 sur PS2, Xbox, Gamecube et PC avec la trilogie des Sables du Temps dont le premier épisode rencontre aussi un franc succès, parvenant à sublimer les bases posées par la série transposées dans un univers en 3D et renforcées par le système d'altération du temps. Une trilogie se termine, une nouvelle génération de consoles arrive. Le prince de Perse se doit d'y faire une apparition remarquée. Précurseur d'un phénomène devenu depuis une norme, le reboot de Prince of Persia (PoP) en 2008 devait relancer la série sur une nouvelle voie. Ubisoft nous propose une nouvelle direction artistique de haute volée avec un cell shading magnifique qui n'a pas pris une ride (en comparaison aux titres plus « réalistes » de l'époque comme King Kong par exemple). Oublions le très discutable POP Les Sables Oubliés pour nous attarder sur le reboot... Le succès ne fut pas à la hauteur des espérances de l'éditeur. La faute principalement à un choix d'ouverture vers le grand public en simplifiant à l'extrême la prise en main et en supprimant totalement le game over. Ce qui détruit aussi toute notion de challenge et rebute ainsi une partie des fans de la précédente trilogie, mais n'attire finalement pas vraiment un nouveau public non plus. A cela s'ajoute un système de combats moins agréable que dans la trilogie des sables du temps, aux ennemis moins fréquents mais particulièrement redondants, surtout avec les boss. Et pourtant la magie opère, grâce à un univers d'une rare beauté qu'on rêve de pouvoir explorer plus librement. Nombreux sont les endroits où l'on s'arrête juste pour contempler les décors et la démesure de certains lieux. Finalement, ce PoP doit se vivre comme un voyage dans les royaumes des milles et une nuits, comme un rêve vidéoludique où l'on se promène sans pression aucune, afin d'être pleinement apprécié. Mais l'arrêt de mort de ce reboot de PoP est venu un an plus tard. Alors que le jeu était conçu pour mettre en place une nouvelle série, son succès relatif pousse Ubisoft à développer un DLC qui n'apporte rien de plus au jeu, si ce n'est une véritable fin. Ce choix de l'éditeur en a fait râler beaucoup qui n'y ont vu qu'un moyen de les refaire passer à la caisse pour rentabiliser un jeu aux résultats décevants. Pourtant, il s'agissait peut-être simplement d'offrir une fin aux fans après que l'idée de développer la suite eut été abandonnée. Toujours est-il qu'aujourd'hui encore Ubisoft est souvent décrié pour la moindre qualité de ces DLC (qui ne sont ni meilleurs ni moins bons que ceux d'autres éditeurs finalement) probablement à cause de cette image négative générée par le DLC de PoP. Toujours est-il que je vous invite à découvrir (ou redécouvrir) cet épisode à part de la saga, dont la beauté et le plaisir de la découverte n'a pas pris une ride.
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Mode Battle. Défi sur dix manches. 9-9, bataille finale. Un ultime ballon flotte sur le kart de Mario, mon adversaire. Mon Yoshi arbore fièrement son dernier ballon. Je traque Mario, carapace verte prête à être lancée au prochain face à face... Mazette! Mario vient d'obtenir une rouge! Demi-tour, je dois vite me mettre à l'abri. Trop tard, la carapace rouge est lancée et le mur salvateur est trop loin... Jump, jump jump désespéré... et miracle! La carapace me passe dessous... et Mario, désarmé, me fonce dessus. Ma carapace verte le touche de plein fouet et je bondis de joie! « Comment t'as évité ma carapace rouge? » me demande mon pote encore ahuri par cet ultime retournement de situation. « C'est ça le talent! » que je lui réponds goguenard avant de lui avouer que je n'en ai aucune idée. Soit c'est un bug, soit on peut vraiment les esquiver en sautant. Il nous faut vérifier ça. Séance intense de tests... on en conclue que c'est possible mais le timing semble hyper serré et après un après-midi entier de jeu, l'esquive de la carapace rouge est plus une question de chance qu'autre chose. A cette époque, je disposais au mieux de 4 ou 5 jeux par ans, rares étaient ceux que je ne finissais pas plusieurs fois et ne retournais pas dans tous les sens pour en découvrir chaque recoin, chaque astuce et autre warp zone bien cachée. Du coup, puisqu'il était possible d'éviter la carapace rouge dans Mario Kart, on s'est entraîné. Lorsque je trouve enfin le truc qui permet de cerner le bon timing, je bats mon pote 10 manches à 4 avec une réussite d'esquives de 7 sur 10. L'astuce était liée au son : sauter lorsque le bruit de la carapace avait une certaine intensité. Seule l'esquive d'un tir à bout portant restait une affaire de hasard. A partir de ce jour, les batailles de Mario Kart avec mon pote devinrent extrêmement tactiques et longues. J'ai le souvenir d'une partie d'au moins 2 heures sans qu'aucun ne perde de ballon. Aucun autre Mario Kart n'est parvenu à reproduire cet aspect tactique et hardcore des batailles. C'est pourquoi il reste à mes yeux le meilleur de la série malgré l'excellence des derniers épisodes. Et vous, quel est votre Mario Kart préféré et votre souvenir le plus marquant pad en main?
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EA annonce une nouvelle licence de style Open World
mellow a répondu à un(e) sujet de Albatorth84 dans Monde ouvert
Jade Raymond est excellente en terme de business plan et communication. Ce qui devrait être très utile pour un nouveau studio et une nouvelle licence. Quant à Amy Hennig, c'est une scénariste de talent qui peut laisser espérer un monde ouvert avec une narration enfin maîtrisée... J'espère...- 7 réponses
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- jade raymond
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Un petit côté Wakfu pour le visuel, du prince of persia-vania pour l'exploration et un système de combat pêchu mais un poil brouillon... j'adore quand même. Sortie à surveiller!
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Ce jeu me fais vraiment envie, d'autant que Michel Angel soigné souvent son gameplay et le level design, sans oublier l'histoire. Mais s'il est embarqué sur un tel projet, ça laisse peu d'espoir de voir arriver bien tôt Beyond Good and Evil 2...
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- paris games week
- wild
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Oui, espérons que ce soit bien traité dans le jeu car c'est potentiellement tout ce qui peut faire la différence avec les jeux du genre et rendre l'histoire vraiment prenante.
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Zombi étant un simple portage de Zombi U, je vous conseille de préférer ce dernier. Apparemment le jeu n'est pas très bien réalisé sur New Gen et on perd tout l'intérêt de la tablette qui gère l'inventaire en plein jeu, sans pose.
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Je suis pas fan du tout démat'. J'espère que la PS5 et les jeux garderont l'option physique aussi et qu'ils attendront la PS6 ou 7 pour supprimer tout support physique. D'ici là, je serai peut-être enfin devenu un vieux con et je ne jouerai plus aux jeux vidéo... ARRRGGGG Le cauchemar. Mais qu'on me laisse mes belles boites sur mes étagères!!!
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Les 18 446 744 073 709 551 616 sont générés de manière procédurale. Donc moins de taf pour les développeurs. Par contre le report de sortie serait lié à des difficultés de développement sur PS4... mais difficile d'en savoir plus.
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[Gameplay] Need for Speed 2015 Xbox One
mellow a répondu à un(e) sujet de Albatorth84 dans Course automobile
J'avais bien aimé la version Underground 2. J'espère que la conduite ne sera pas trop savonnette... -
J'ai particulièrement aimé ce qu'il est possible de faire dans le rêve des gâteaux. Les possibilités semblent énormes.
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- paris games week
- dreams
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Ben oui, ça fait 10 mois que j'arrive pas à jouer à autre chose... ou presque. Mais, comme j'ai kiffé Little Big Planet et ses possibilités de création (surtout le 2), je pense que Dreams devrait aller encore plus loin.
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Oui. J'ai hâte de voir ça. Potentiellement le jeu qui me fera décrocher de Destiny.
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- paris games week
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Si j'ai bien compris, Dreams va même plus loin que le jeu vidéo. Le joueur crée son rêve, voir même imbriqué les rêves les uns dans les autres. On crée plutôt une aventure interactive (dans le bon sens du terme) que l'on partage. On s'éloigne du concept de niveau de jeu, d'ennemis à battre ou de shooter... Les séquences montrent plus des univers à explorer et faire évoluer. C'est vraiment difficile à expliquer, mais ça donne envie d'en savoir plus et d'essayer...
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- paris games week
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Bonjour, Connaissez-vous l'applications pour smart phone et tablette :playstation app. Cette application est très pratique pour gérer vos messages, votre liste d'ami... etc. Mais surtout vous pouvez y connecter votre ps4. L'application permet alors de gérer à distance vos téléchargement, vos fichiers et même transformer votre tablette en second écran... Idéal pour libérer la tv... mais à tester car je suis pas sûr que ça marche pour tous les jeux.